Chapitre 3 Partie 3

6 mins

    C’était un matin comme les autres, elle se réveilla sur la même grosse roche qu’à son habitude. Comment ne pas aller s’émerveiller chaque soir face à l’immensité absurde du tapi d’étoile qu’est le ciel. Elle qui était nait sous le signe de l’arbre. Constellation d’où il était coutume d’attribuer, sagesse et détermination à ceux qui en ont la bénédiction. De la détermination elle en avait, la sagesse restait tout de même à démontrer.

    Un coup d’œil pour chasser son chemiser blanc, lancer au même instant que son corset de cuir. (Comment résister face à l’immensité du ciel à en perdre pied, pour le reprendre.) À l’instant où le Chemisier fut trouvé, elle entreprit sa mise en place, geste arrêté par la découverte d’un grillon sur sa clavicule.

– Allo l’ami… tu sais que c’est mon corp ça…

    Le grillon impassible face à la remarque, resta statique. Elle comprit le geste de l’insecte. Elle le saisi pour le mettre dans une de ses nombreuses sacoches de cuire. Être cueilleuse demandait de l’espace pour cueillir.

    Ses seins couverts et son corset installer, elle ne lui restait plus qu’à retirer les petites branches de ses cheveux brun clair. Serpe en poche, Madeleine pouvais commencer sa journée.

    Sa première étape était tout d’abord de sortir de la minuscule Forest qui subsistait au centre de l’immensité des champs de la région de Nartie. Elle déposa sa main dans son sac pour en connaitre le résumer de sa cueillette de la vaille. :

« 13 feuilles de ‘’ritricon’’ »

« 2 champignon noir type ‘’butrolapis’’ »

« Une poigner de graine ‘’fromutisson’’ (pour consommation personnel uniquement) »

« Un sac plein de thé ‘’tenarien noir’’ »

« … et un grillon vert »

    Le travail d’une journée et se uniquement pour aider l’apothicaire du village. Le pauvre était déjà vieux lorsqu’elle était petite. Le vieil homme avait aussi la qualité de bien payer. Elle estima son butin, a vue de nez, à environ 13 couronnes, peut-être un peu plus.

    S’était avec gaité qu’elle entreprit de sortir de la forêt. Son instinct l’arrêta au bord du chemin qui longeaient la lisière des arbres. Un instinct qui l’avait fort bien servi à une époque. Derrière un arbre, elle guetta au loin. Ce corbeau porteur d’arme. Plus grand que les autres, il dégageait une aura lourde. Une aura de mort, de solitude. « Comme tous ces serviteurs minables sans personnalité, que son ces affreux pantin » se dit-elle. Le personnage une fois éloigné, elle sorti finalement pour rejoindre le village.

    Comme une parade, elle marchait aux milieux de ses voisin, sourire aux lèvres. Il se disait beaucoup de chose sur elle et sur ses mœurs légères. Cependant aucun homme ne s’était plein assez fort pour que leur femme n’ai plus que cette opinion de la belle Madeleine. De taille moyenne ses hanche fine et ses seins de taille raisonnable la faisait passer souvent inaperçu, chose qui plaisait à madeleine. Être inaperçu à ses avantages (d’autant plus lorsque qu’on a certaine aptitude). De plus si une personne osait lui faire un peu trop d’ombre, elle savait gagner sa place au soleil.

Sur le chemin principal un homme s’approcha de la brune.

– Hey madeleine, oserais tu croire qu’hier …

– Tait-toi Christian !!! Tu m’ennuis … tu me fait le coup deux a trois fois semaine.

Dit-elle sur un ton sec, ce qui n’empêcha pas le jeune homme de continuer.

– Oui mais tu le fais exprès… je suis sur… sinon tu ne retournerais pas sur cette pierre chaque soir pour…

– Regarder les étoiles oui ! Donc laisse-moi… Nous avons eu cette discussion nombre de fois et tu es trop jeune pour moi.

– On a seulement quatre années de différence, et tu sais…? y’as des rumeurs…

– Exactement des rumeurs reste des paroles en l’aire… tout comme les jambes de ta mère hier.

Christian eu un regard de doute.

– De quoi parle tu?

    Madeleine saisi l’adolescent par l’épaule et plongea ses yeux dans les siens. Elle lui insuffla des mots, comme une révélation que tous connaissaient.

– Quoi tu ne sais pas… tas mère… le grand prêtre… Le magistrat Gortan… il son … et bien …. Je crois que tu devrais demander à tas mère qui est réellement ton père.

    Le jeune Christian eu une expression de peur sur le visage. Madeleine eu un sourire moqueur. Pour finir par lui dire :

– Ahahaha Christian, tu es… et tu resteras toujours mon simple d’esprit préfère.

Elle le laissa derrière, secouant sa main gantée dans les airs.

– A demain le jeune … (ou se soir)

    La brune réussie finalement à atteindre son apothicaire d employeur. A son être la cloche fit sursauter le vieil homme endormi sur sa chaise.

– Haaaaaaaaa !!!! Barbare !!! je vous percerai !! … Ohh madeleine ses toi.

Elle sourit au vieux monsieur tout juste sorti de son passer (probablement fantasmé)

– Hey oui ! ses moi… toujours en guerre. Tenace ses Fronitien.

– Pas plus que moi comme tu peu le constater.

– Ah monsieur Ruterman… si vous fumiez moins de vos feuilles brunâtres, il est clair que vos rêves seraient plus mornes… sa j’en suis sur…

– A mon addiction aux feuilles de tacbicol n’est pas le problème et tu le sais très bien.

    La jeune femme devant le fonçage des sourcils gris de se vieux chauve, n’eut qu’un petit rire en réponse. Elle sorti se quelle avait cueilli sur le comptoir. L’apothicaire commença son inspection.

– Voyons, voyons… (de ses main tremblante d ancien franc-tireur de la légion d’élite barilienne il tournait feuilles et champignon.) Je peux t offrir neuf couronnes. Ah un grillon

Madeleine saisi le grillon, offusqué de se montent ridiculement bas.

– Quoi ? Neuf couronnes !!! Sa me coute plus cher faire affuter ma serpe… ses offusquant.

– Madelaine tu le sais je recherche la qualité avent la quantité.

– Mais monsieur Ruterman, vous savez moi et mon père on a besoin de ses couronne… (elle prit un air plus sérieux, déposent son coude sur le comptoir) N’oublier pas que nous vous avons rendu service.

– Il est vrai que j’ai eu à utiliser vos services, mais ces services, je les ai payés… et ce beaucoup plus cher que neuf couronnes.

Madeleine, n’ayant plus d’argument, dû changer de stratégie.

– 16

En réponse, l’apothicaire relança.

– 10

– 15

– 11

– 15

– Humm 8

– Hey !!!

– On n’est d’accord pour 11 dans se cas.

  Dit le vieux monsieur, la main tendue.

     La belle brune tendit la main, une secousse de poignait. En résultent, onze couronnes d’or sur la table. Madeleine demanda à son employeur s’il pouvait lui prêter son arrière-boutique, chose qu’il accepta. Il savait bien se qu’elle y ferait, à quoi bon l’empêcher, elle pourrait faire bien pire.

    À petit pas, elle se glissa dans cette pièce ou ses cueillettes était entreposé. Une fois seul dans la pièce, Madeleine sortie les graines blanches de fromutisson. De son pouce et son index, elle en écrasa une.

– Bien sec… ses parfait.

    À l’aide du pilon à moudre de Ruterman, elle écrasa une dizaine de ses graines. Elle en déposa une pincé de cette poudre fine sous sa langue. Une fois l’action effectué, elle savait qu’elle devrait mettre le surplus au plus vite dans un sac, avent que les effets commencent. Vite fait, elle prit position sur un fauteuil les yeux river au plafond. Sa tête devin lourde. Mauvais signe, mais bon, on ne peu pas toujours avoirs de bon rêve. De plus les cauchemars son souvent plus révélateur. Elle passa le reste de sa journée à rêver. Voir le monde s’effondrer et se reconstruire dans son esprit. Tourbillon de couleurs monstrueuse, engourdissement passager, voix rassurante. Une journée qu’elle perdu dans son esprit.

    Madeleine reprit conscience lorsque la nuit était sur le point de tomber. Son mal de tête, était des plus puissent. Ce soir Christian sera déçu de ne pas voir Madeleine sur sa pierre pour toucher les étoiles.

    Elle sorti de la boutique, en marche vers sa maison elle eu une crainte. Un pressentiment puissent qu’un malheur était en route. Ce fut à grand pas quelle traversa le champ de son père. Elle eu le temps de mettre un pied sur le porche que son intuition l’avait bien guidé. Une puissante lumière jaillit des fenêtres.

– Père! tu as donc réussi mais pourquoi l’utiliser maintenant?

    Le temps de cette réflexion, la lumière prit fin. Madeleine couru dans la maison. Une marche d’escalier craqua sous le lourd poids du vainqueur, elle comprit que ce n’était pas son père. En vitesse elle se cachât. Un coup d’œil suffit à reconnaitre se terrifiant personnage au masque de corbeau. Elle était presque à porter de vue derrière le fauteuil du salon. L’homme marchait à pas lourd. Lent, il respirait fort et dégageait toujours le même aura de mort. « Comment un corbeau peu venir à bout de mon père, le plus puissent des sorciers encore en vie. Comment? »

    Il sortit. Elle monta. S’était dans la chambre adjacente à la sienne que son père reposait au sol une dague de dragon enfoncé dans la tempe. De peur que l’assassins demeure proche, elle tu ses pleure. Rapidement, ses pleurs laissèrent place à une colère que les épreuves avait appris à contrôler. Elle saisit le corp inanimé d’Atirion.

– Père… il ne me restait plus que vous… Vous venger ne mènerais en rien notre cause à bien… En revanche, je vais tout de même le faire par plaisir… je vais le faire…

    Un geste sec, engendra un craquement, résultant l’extraction de la lame du crane de son père. Sa proie allait au nord c’est pourquoi elle emprunta la même route. Son plan était déjà tout près dans son esprit. Plus elle avançait plus ses pensé l’entrainait dans une spiral de haine. Au bout d’un long moment la fatigue allait avoir raison d’elle. Ce fut au tournant du chemin que madeleine eu un regain d’énergie, il était la devant elle, en marche vers le village de Warkein. Elle devina vite que l auberge serait leur objectif commun. Son dernier objectif.

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