Chapitre 3 Partie 4

5 mins

    Le village de Warkein n’était plus très loin. Ce fut à grand pas que l’inquisiteur parcourait se chemin. Lui qui n’avait pas pu se reposer la vaille il commençait à cumuler les heures de fatigue. Il se remettait aussi péniblement de son combat de la veille contre se fidèle des arts occultes. Cyraxon fut ravie de voir un panneau indiquant :

« Warkein 7 stade »

    Il avança, trainant son équipement lourd au milieu de ce lieu ou la foret avait repris ses droits. Lors d’un tournant, il entendit un cri. Son claire d’une femme qui médisait quel qu’onques individu tentent de la maitriser. Le tournant effectué, il comprit la situation. Malheureusement une coutume qu’est le raquait des voyageurs. Cyraxon connaissait bien cette pratique. Nombre de bandit avait subi son jugement. Les Cinq faiblard tenait une jeune femme par les poignais. À la vue de Cyraxon, la femme stoppa ces lamentations. Elle eut même une étrange expression, l’inquisiteur ne portait plus attention à ses types de jugement depuis fort longtemps. Épuisé devant ces cinq malfrats, il vue l’occasion de se défouler.

    Sous le silence le plus gros des bandits fit un pas alors que trois autres, encerclèrent l’inquisiteur, le cinquième se contenta de tenir la brunette qui ne tentait même plus de se débattre.

– Oyez, oyez, regarder se corbeau doré…

Certes bien armé…

Croyez-vous qu’il serait être bon joueur de passer son…

Ehhh…

Son …

– Chemin !!! … Fait juste dire chemin… merde !!!

Cyraxon devant l’amateurisme de ces bandits affirma calmement.

– Par les cinq, je vous condamne. Que la mère vous accueille dans l’autre monde. celui si n’est plus votre. Iniquitame protases

    Les cinq hommes eurent un rire gêné. Il faut dire que les membre de l’ordre se faisait rare dans ces contrer. Le pseudo poète reprit la parole, épée légère à l’intérieur de sa main.

– Ho sinistre personnage

 Corbeau de bas étage.

BANG !!!

    Le poète chuta, crane, d’on la moitié avait été éclater par une balle, type obusier. Le canon encore fument de Cyraxon. L’homme a la gauche de l’inquisiteur cria.

– SINOS…

    Avant de s’élancer. Le Corbeau répondit en seul geste a son nouvel attaquant. Il dégaina un sabre, geste qui fit chuté la tête de son agresseur, sur le sol. Bec droit devant, Cyraxon affirma glacialement.

– Plus que trois.

    La dame toujours prisonnière devin un bouclier pour son geôlier, plus large que les autres. Il ne fallut qu’un lancer de poignard pour faire effondrer se colosse. Les deux survivant eu l’idée de battre en retraite. À peine avait-il eu le temps de franchir le chemin pour atteindre la forêt, que deux coups de feu les fit s’effondré au sol. Le premier fut toucher à l’arrière du crâne. Le second n’eut pas droit à cette chance. Le misérable gigotait cherchant l’aire qui fuyait de sa trachée, percée de part en part.

    La victime, main sur sa gorge fut observé par son prédateur. Cyraxon comprit qu’il allait rejoindre la mère rapidement. Sans en faire plus de cas, l’inquisiteur reprit son poignard. La jeune femme était restée témoin de la puissance de l’inquisiteur.

    Elle était figée devant la stature de son sauveur. Sauveur quelle aurais voulu ne jamais être lié de cette façon. De toute façon ces hommes elle aurait pu sens occuper elle-même mais parfois : Être une proie est souvent le meilleur déguisement du prédateur. Ce fut cette maxime qui fit comprendre à madeleine l’avantage de la situation. Elle saisit cette chance alors que l’inquisiteur continuait sa route, sans même porté la moindre attention à la pauvre femme quelle voulait représenter.

A pas de course elle le rattrapa.

– Merci à vous… Ah grand merci… Ces homme… Beurk… seuls les cinq savent ce qu’ils m’auraient fait subir… Comment vous remercier grand corbeau…

    Cyraxon qui ne portait jusqu’alors aucune attention aux éloges de la femme, eu la rage interne à l’entente de ce terrible mot qui, telle un fantôme, l’entait.

– Comment osez-vous me nommer corbeau! Femme! Je suis membre de l’ordre!

    Madeleine comprit que le bougre vivait un complexe de longueur de bec. Ne sachant si se fait était une bonne ou une mauvaise chose dans le déroulement de son plan, tenta de calmer le jeu.

– Pardonner moi, maitre inquisiteur… je ne sais comment vous remercier… s’il vous plais me feriez-vous l’honneur de m’accompagner jusqu’au prochain village… J’ai terriblement peur de croiser d’autre bandit…

    Cyraxon n’avait guère le gout de marcher au coter d’une faible femme. De plus, elle semblait avoir la parlotte facile. De toute façon, que pouvais-t-il faire, lui dire « non ». Elle marchait en même direction. Il eut comme réponse de continuer simplement sa route en indiquant a la jeune femme de le suivre.

    Durant sa marche il rechargea ses 3 pistolet. On n’est jamais trop sûr. Le village apparu au même rythme que le soleil disparaissait. La nuit fut complète lorsque l’inquisiteur et la dame en détresse faire l’entrer dans l auberge. Cyraxon eu comme en un instant analyser la pièce. Le nombre d’inconscient sur les tables donnais froid dans le dos. « Les hommes ose croire que l’alcool régleront leur problème alors que ses généralement ce qui les crées. » se disait Cyraxon. Le duo alla demander une chambre. L’inquisiteur fut subitement pris à l’épaule et séparer de la jeune brune. Temps parfait pour madeleine de mettre son plan en exécution. Elle alla parler à l’aubergiste. Elle utilisa des mots simples et insuffla des mots en lui comme étant une vérité connu de tous.

– Il n’y a plus qu’une seule chambre de libre… inquisiteur. Comprit?

L’homme sous l’emprise des mots acquiesça.

    Cyraxon, après avoir mis à tabac, un homme un peu trop ivre pour savoir que s’empreindre à un être de deux mètres de haut, n’est jamais une bonne idée, revint vers l’aubergiste. Le grisonnant monsieur semblait déjà en conversation avec madeleine.

Cyraxon prit tout juste place devant l’homme influencé, que celui si dit mécaniquement :

– Plus qu’une chambre… … maitre inquisiteur …

Madeleine prit vite la parole devant l’homme masqué.

– A j’espère qu’il ne vous dérangera pas de la partager avec moi… (sourire qui aurait fait fondre n’importe quelle cœur)

– Non, je dors seul.

Elle regarda l’aubergiste qui sut exactement quoi dire.

– Deux lit…

La femme surenchérie avec un :

– Quoi monsieur?

– La chambre possède deux lits.

– Parfait!

S’exclama madeleine.

    Cyraxon eu un instant d’hésitation mais à quoi bon, il devait dormir et demain il serait reparti pour une longue route. Il devait aussi se nourrir. Il s’adressa donc à belle brune.

    J’accepte de partager cette chambre. Vous devez me laisser manger et méditer seul. Je vous autorise à me rejoindre dans 3 heures. Toujours muni de son sourire enrôleur elle déposa son index sur le bec doré de Cyraxon.

– Je comprends, donc dans trois ….

    Elle avait perdu entièrement l’attention de sa proie. Effectivement, il était parti demander son souper. Un poulet entier des pommes de terre griller dans le fromage et de l’eau, beaucoup d’eau. Madeleine savait se quelle devait faire. Son plan prenait tout son sens. Cette nuit le monstre allait tomber et elle en serait la pourfendeuse. Elle n’avait plus qu’à attendre. Trois heures, uniquement trois heures. A comme cette attente allait lui paraitre longue mais la vengeance en vaut la peine.

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