Fan-fiction Harry Potter 1

10 mins

(Fan-fiction publiée sur le site: https://lasallesurdemande575801518.wordpress.com/2021/10/19/fan-fiction/)

Un terrifiant Halloween

            
Clara avançait rapidement dans les couloirs de Poudlard. Les ombres étirées se reflétaient sur les murs, ce qui donnait un aspect assez effrayant à l’école, plongée dans le noir.
Clara venait de sortir de son cours de Botanique, avec le professeur Londubat, et elle était en retard au banquet d’Halloween qui se tenait dans la Grande Salle.
Un hurlement retentit au loin, venant sûrement de la Forêt interdite, mais la jeune Gryffondor pressa tout de même le pas. Elle en voulait à son ami Adrien de ne pas l’avoir attendue, comme promis. Elle n’aimait pas marcher toute seule dans les couloirs, surtout lorsque la nuit était tombée.
Clara pria pour que cette peur n’arrive pas aux oreilles de Mériza, une jeune Serpentard qui se moquait d’elle en disant que le Choixpeau magique avait fait le mauvais choix. Mériza traitait Clara de trouillarde, et ne comprenait pas pourquoi elle appartenait à la maison des courageux. La jeune sorcière faisait de son mieux pour ne pas y penser, mais une petite voix intérieure lui démontrait que la Serpentard n’avait pas tort. C’est vrai, qu’avait-elle déjà fait de courageux ? A moins de compter l’araignée qu’elle avait tuée le matin-même avec sa chaussure…
Elle avait peur du noir, des duels, des Forces du Mal, des loups-garous, des détraqueurs, des acromentules…
Bref, on ne pouvait pas dire qu’elle était une vraie Gryffondor, comme Harry Potter, Hermione Granger ou Ron Weasley, les célèbres figures de sa maison.
« Pourtant », se disait-elle, « le Choixpeau ne se trompe jamais ». Par exemple, son professeur de Botanique, Neville Londubat, avait connu la même situation lorsqu’il avait son âge. Et son courage s’était manifesté lorsqu’il avait grandi, c’était même un héros de la Bataille de Poudlard.
Mais tout de même… il lui faudrait évoluer beaucoup avant d’atteindre son niveau.
    Ses pensées arrêtèrent de tournoyer dans sa tête. Ses pas l’avait menée à la Grande Salle ! Elle poussa la porte et tous les regards se tournèrent vers elle le temps qu’elle traverse la Grande Salle et s’installe à la table des Gryffondors.
    – Alors, il n’est pas là ton petit ami ?
    Clara se retourna pour voir qui s’était adressé à elle et se trouva nez à nez avec deux filles de sa classe qui n’étaient jamais gentilles avec elle. Elle les soupçonnait d’être jalouse car lors d’un examen de sortilèges, elle les avait surpassées de beaucoup, et elles ne lui avaient pas pardonné.
    – Déjà, ce n’est pas mon petit ami, rétorqua-t-elle. Et ensuite, il doit être en retard, voilà tout.
    Elle essaya de paraître assurée devant elles, puis eut un sourire forcé lorsque Lira, une fille très sympa de sa classe également lui demanda si elle voulait du poulet car elle n’avait rien dans l’assiette.
Où était donc Adrien ? Il lui avait dit qu’il l’attendrait à la sortie de son cours de Botanique, car lui avait cours de Potions avancées à la place. Mais il n’était pas devant sa salle lorsqu’elle était sortie. Peut-être que son cours avait pris du retard ? Mais alors pourquoi tous les élèves qui avaient le même cours que lui étaient assis autour de la table ?
Elle pris son courage à deux mains et aborda un garçon avec qui Adrien traînait quelquefois.
    – Euh… excuse-moi mais… Tu ne saurais pas où est Adrien par hasard ?
    Le garçon eut l’air franchement étonné.
    – Ah non, il est parti précipitamment justement pour aller te rejoindre, répondit-il, une lueur
pétillante dans les yeux.
    Mais Clara repoussa violemment son assiette et se leva.
    – Que se passe-t-il, Mademoiselle Moed ?
    La voix du professeur McGonagall emplit soudain la Grande Salle, et stoppa toutes les conversations.
Clara devint rouge tomate. Elle avait complètement oublié qu’elle se trouvait en plein milieu d’un dîner dans la Grande Salle ! Elle avait soudain eut un mauvais pressentiment pour Adrien. C’était son meilleur ami depuis leur entrée à Poudlard, c’est-à-dire depuis maintenant trois ans, et elle le connaissait très bien. Elle n’avait jamais ressenti cela auparavant : sa poitrine l’oppressait, et elle sentait qu’il lui arrivait quelque chose.
Elle respira un grand coup, et répondit :
    – Excusez-moi professeur, mais mon ami Adrien …… n’est pas encore arrivé, et je…  sens qu’il lui est arrivé… une mauvaise chose.
    Le professeur McGonagall lança un regard aux autres professeurs, pendant qu’un brouhaha s’élevait des quatre grandes tables , puis elle se racla la gorge.
    – Bien. Le professeur Flitwick va vous accompagner pour vérifier qu’il n’est rien arrivé de fâcheux à votre ami.
    Clara ouvrit de grands yeux. Envoyer un professeur vérifier ce qu’elle disait ! Il devait se passer quelque chose dont elle n’était pas au courant.
Sa panique augmenta d’autant plus.
    – Merci beaucoup professeur.
    Mais McGonagall semblait à peine l’entendre. Elle était en pleine discussion avec ses collègues, qui  avaient tous une mine inquiète.
    Clara sortit de la Grande Salle presque en courant, le professeur Flitwick sur ses talons.
    – Que se passe-t-il professeur ?
    La peur semblait lui avoir donné des ailes. D’habitude, jamais elle n’aurait osé poser cette question.
    – Que voulez-vous dire ? répondit Flitwick, légèrement essoufflé.
    – Vos regards échangés lorsque j’ai annoncé vouloir aller chercher Adrien.
    Le professeur ne répondit rien, et pendant un instant, Clara crut qu’il n’allait pas lui répondre. Il faisait toujours très noir, et la seule lumière provenait de la lune et des étoiles qu’on apercevaient par les grandes fenêtres et vitraux du château. Puis soudain, il brisa le silence alors que Clara projetait un rai de lumière devant eux grâce à sa baguette :
    – Sachez, Mademoiselle Moed qu’il se passe des choses… pour le moins étranges en ce moment.
    – C’est-à-dire ?
    Le professeur lança des coup d’œil à droite et à gauche pour vérifier que personne ne les écoutait. Ils marchaient très vite, traversant les couloirs et montant les étages.
    – Je… je ne pense pas être autorisé à vous en parler. Cela pourrait créer des paniques si vous en parliez, et… Au fait, pourquoi nous avoir amené ici ?
    Clara allait lui faire remarquer qu’il n’avait pas répondu à sa question lorsqu’elle se rendit compte qu’elle les avait mené dans le parc du château, à la lisière de la Forêt Interdite.
    – Je ne sais pas, répondit-elle en chuchotant. Mes pas nous ont amenés ici. Ce doit être pour une bonne raison.
    Elle allait se mettre à chercher aux alentours lorsque le bras du professeur se referma sur son poignet.
    – Oh non… Vous aviez raison…
    Clara fit volte-face pour essayer d’apercevoir ce que Flitwick regardait, et sentit son cœur s’arrêter.
Allongé, là, à la lisière de la forêt, Adrien gisait inconscient, semblait-il.
Clara allait se précipiter, mais Flitwick ne lui lâchait pas le poignet.
    – Attendez Clara ! Je sais que vous m’en voulez de vous empêcher d’aller voir votre ami,
mais je me dois de vous prévenir. Les menaces qui pèsent sur nous sont à cause des créatures maléfiques. Plusieurs raisons nous portent à croire que les loups-garous se rallient aux Détraqueurs, et qu’ils essaient de…
    Le professeur hésita, puis lâcha un soupir et continua :
    – Ils essaient de continuer le travail de Voldemort, c’est-à-dire d’anéantir Poudlard et créer un sentiment de panique. Pour cela, ils veulent tuer le maximum de personnes de Sang-Pur.
    Clara blêmit. Adrien était de Sang-Pur. Soudain, sa mémoire revint sur un détail que le professeur venait de lui dire.
    – Professeur, si les créatures maléfiques veulent continuer le travail de Voldemort, pourquoi tuent-ils les Sang-Purs ? Ils devraient plutôt tuer les Sang-Mêlés ou les Nés-Moldus…
    – D’après ce que l’on sait, ils euh… trouvent que leur sang a meilleur goût. Ils ne veulent pas « s’abaisser » à boire du Sang impur, vous comprenez…
    Clara hocha lentement la tête. Puis elle dégagea son poignet.
    – Merci pour ces mises en garde, Professeur, mais je ne peux pas le laisser ici.
    – Je sais, soupira Flitwick.
    – Allez chercher de l’aide, proposa-t-elle.
    Flitwick hésita, puis sortit sa baguette. Il fit apparaître un Patronus, et enregistra sa voix pour aller porter un message.
    – « Ce que nous redoutions est vrai. Un élève a été attaqué à la lisière de la Forêt Interdite.
Nous avons besoin de renforts. ».
    Le Patronus partit en direction du château.
    – Je l’ai envoyé au Professeur McGonagall, précisa-t-il.
    – Je n’ai pas le temps d’attendre les renforts Professeur. Vous comprenez bien que si Adrien est…  encore vivant, chaque seconde compte ?
    Flitwick se mordit la lèvre. Ses yeux reflétèrent une lueur étrange. Clara se retourna vers la forêt, mais ne vit rien briller.
    – Etes-vous bien sûre que vous ne risquez rien, Mademoiselle Moed ?
    – Je ne sais pas, mais je suis une Sang-Mêlée, je risque donc moins qu’Adrien.
    – Ne voulez-vous pas attendre que je revienne avec des renforts avant d’aller voir votre ami ? demanda Flitwick.
    Clara secoua la tête.
    – Il sera peut-être trop tard Professeur ! Je ne veux pas prendre le risque de perdre du temps sûrement très précieux…
    – Je comprends, dit Flitwick. Faîtes attention à vous. Moi je reste ici pour monter la garde.
    – Très bien, merci beaucoup.
Clara se retourna vers l’endroit où gisait Adrien. Elle prit une profonde inspiration, et se précipita sur lui.
Elle s’agenouilla dans les feuilles mortes qui jonchaient le sol de la Forêt Interdite, la lune illuminant le corps d’Adrien. Son visage était blanc, il avait des griffures sur les joues et le cou. Elle remarqua également une profonde entaille sur son bras gauche.
    – Adrien ? chuchota-t-elle. Adrien, je t’en supplie, réveille-toi. S’il te plaît, ne soit pas mort.
    – Il ne se réveillera pas de sitôt, ricana quelqu’un dans les profondeurs de la forêt.
    Clara sursauta, et un flash-back s’imposa soudain à son esprit : celui dans lequel Harry Potter trouve Ginny Weasley inconsciente dans la Chambre des Secrets. Tom Jedusor apparaît alors en lui disant qu’elle n’est pas morte, mais presque.
Mériza s’avança, ses chaussures raclant le sol.
    – Mériza ? s’étonna Clara, méfiante. Qu’est-ce-que tu fais ici ?
    Mériza eut un sourire mauvais.
    – Lorsque tu es partie avec Flitwick, McGonagall a renvoyé tous les élèves dans leur maison.
Je me suis donc dit qu’il devait s’être passé quelque chose de grave, et je vous ai devancé. Il s’est fait mordre par un loup-garou, continua-t-elle en faisant un signe de tête en direction d’Adrien.
    Clara eut un haut-le-cœur. Elle s’y était attendue, bien sûr, depuis que le professeur Flitwick lui avait raconté l’histoire, mais elle avait prié pour que ce ne soit pas le cas. Elle se retourna vers Adrien, et trouva des petits trous au bas de son cou…
    – J’avoue que tu m’as surprise, lança Mériza. Te lancer à la recherche de ton petit-ami, alors qu’il est devenu un loup-garou…
    – Je ne  pouvais pas savoir ce qu’il était devenu ! s’écria Clara. Et de toute façon, même si je l’avais su, je serais quand même venue.
    Mériza haussa un sourcil.
    – Toi, la « courageuse » Gryffondor serait venue voir un loup-garou à peine transformé ? Même moi, je ne serais pas venue.
    – Qu’est-ce-que tu fais ici alors ? lui lança méchamment Clara.
    – Je me suis assurée qu’il soit inconscient avant de m’approcher ! Toi, tu t’es jetée à ses côtés. Je ne suis pas folle !
    – Adrien est mon meilleur ami, répondit Clara. Je me fiche qu’il soit devenu un loup-garou, si il a besoin de moi, je viendrai toujours.
    Mériza partit dans un grand rire, mais s’arrêta soudain.
    – Tu as entendu ? demanda-t-elle en s’immobilisant.
    – Entendu quoi ? demanda Clara, fronçant les sourcils.
    – Rien… Ça devait être un animal de la forêt.
    Elle essayait de paraître assurée, mais Clara voyait bien qu’elle était inquiète.
    – Bon, moi je vais te laisser prendre soin de ton petit Adrien au milieu de créatures maléfiques et dangereuses, et je vais rentrer…
    Elle recula d’un pas, mais soudain, un buisson proche d’elles bougea, et une immense silhouette atterrit souplement sur ses pattes arrières. C’était une personne massive, aux longs membres. Ses cheveux gris étaient en bataille, et une forte odeur de terre, de sueur et de sang émanait de lui. Ses ongles étaient jaunes et crasseux.
    – Bonsoir, mesdemoiselles, dit le nouvel arrivant d’une voix rauque qui ressemblait à un aboiement.
    Clara ouvrit de grands yeux. Non, c’était impossible ! Pas lui ! Elle avait lu tellement de choses dessus, mais jamais elle n’aurait cru le rencontrer pour de vrai.
    – Fenrir Greyback ? réussit-elle à murmurer.
    – Oh ! Mais je vois que je suis connu par ici ! lança Fenrir de sa voix tonitruante. Eh oui, délicieuse demoiselle, c’est bien moi ! As-tu aimé le tour que j’ai joué à ton professeur ? Tu fronces les sourcils, j’en déduis que tu n’as pas remarqué que je l’avais soumis au sortilège de l’Impérium pour ne pas qu’il t’accompagne dans la forêt ?
    Clara revit l’étrange lueur briller dans les yeux de son professeur. Il posa les yeux sur Adrien.
    – Tiens mais qui voilà ! Je l’ai croisé sur mon chemin, il se rendait vers les serres, dit-il en regardant Clara droit dans les yeux, et en se pourléchant les babines. Ses dents étaient pointues et jaunes.
    – Il n’arrêtait pas de répéter une phrase : «  Non, laissez-moi, je dois rejoindre Clara ! ». Maintenant que j’y pense, comment t’appelles-tu ?
    Clara lui lança un regard mauvais.
    – Tu ne réponds pas ? ricana Fenrir. Serais-tu ladite Clara ? Mhhh, sûrement. Sache que ton ami ne sera plus jamais pareil ! Mais, est-il seulement encore ton ami ?
    – Arrêtez ! s’écria Clara. Vous êtes mauvais et méchant ! Vous vous êtes allié à Voldemort pendant la Bataille de Pouldard, et maintenant vous vous en prenez à des innocents ! Sachez que Adrien sera toujours mon ami, quoi qu’il soit devenu ! Je ne suis pas comme vous, je n’ai pas de mauvais préjugés sur les gens ! Adrien est quelqu’un de bien, qu’il soit sorcier ou loup-garou !
    Greyback l’observa pendant un moment, et Clara retint son souffle.
    – Mhh… Tu as un grand tempérament, finit-il par dire. Serais-tu une Gryffondor par hasard ?
    – Oui, dit fièrement Clara.
    Elle venait de se rendre compte que ce qu’elle venait de faire était digne de sa maison.
    – De quel sang es-tu ? demanda Fenrir.
    – C’est exactement ce que je viens de vous dire ! rétorqua Clara. En fonction de ma réponse,
vous allez me juger différemment. Vous viendrait-il à l’idée que nous sommes tous égaux même avec une origine différente ?
    – Écoute, je ne suis pas comme ça, et je ne changerai pas. Les Nés-Moldus seront toujours des moins que rien. Et toi, tu es une Sang-Mêlée. Tu as de la chance, je ne t’attaquerai pas, car je ne me salirai pas d’un sang impur.
    – Tant pis pour vous et tant mieux pour moi ! Et d’ailleurs, comment connaissez-vous mon statut de sang ?
    – Mon puissant odorat me permet de reconnaître la nature des différents sangs. Tout comme il me permet de dire que la jeune fille ici présente est de Sang-Pur.
    Greyback plongea sa main derrière un arbre et en ressortit Mériza, morte de peur.
    – Tu te caches, petite Serpentard ? dit-il en désignant la cravate verte que portait Mériza.
    – Je…je ne…
    – Tu es une trouillarde ?
    – NON ! Non, je n’ai rien à voir avec cette histoire !
    – Une Serpentard qui déshonore la maison des Forces du Mal, je ne peux pas laisser passer !
    – NON ! NON, s’il vous plaît ! Je ne déshonore pas ma maison ! s’époumona Mériza, paniquée à présent.
    Au même moment, Adrien émit un petit geignement.
    – Adrien ! s’écria Clara en reportant son attention sur lui. Adrien, oh merci, tu vas bien !
    – Clara ? demanda-t-il d’une toute petite voix en tournant sa tête vers elle. Clara il ne faut pas que tu restes ici, il y a un loup-garou et…
    – Je sais, Greyback est juste ici, répondit-elle, les yeux pleins de larmes. Mais ne t’en fais pas, je vais te soigner, il ne te fera plus de mal.
    – Tu ne peux pas me soigner. Je suis… je suis devenu un loup-garou, murmura-t-il.
    – Je sais. Mais je peux soigner tes blessures, et puis il existe la potion Tue-Loup pour t’aider.
    – Clara… Rien ne sera comme avant.
    Un lourd silence dura quelques secondes, puis la jeune Gryffondor reprit la parole :
    – Ne raconte pas n’importe quoi. Ce n’est pas parce que tu as été attaqué que ça change quelque chose. Je t’aiderai, je te le promets. Mais je ne t’abandonnerai jamais.
    Adrien lui sourit faiblement, mais la voix de Greyback emplit l’air.
    – Désolé d’interrompre ces émouvantes déclarations, mais j’ai un festin à déguster.
    – NON ! ARRÊTEZ JE VOUS EN SUPPLIE ! DIT-LUI CLARA, DIT-LUI QUE JE NE
DÉSHONORE PAS LES SERPENTARDS !
    – Les Serpentards ne sont pas forcément obligés d’être en relation avec les Forces du Mal, lança Clara à Greyback.
    – Je suis d’accord avec elle, répondit Adrien avec un peu plus de force. Regardez Severus Rogue par exemple.
    – Severus Rogue était un traître ! rugit Greyback, ses dents aiguisées au-dehors.
    – Rogue était un héros très courageux qui se battait pour le bien au nom de Lily ! rétorqua Clara.
    Greyback ferma les yeux quelques secondes. Des voix s’élevèrent des portes du château et Clara distingua des silhouettes qui couraient vers le lieux où ils se trouvaient. Les renforts ! Une lueur d’espoir lui emplit soudain la poitrine.
    – Bien, assez perdu de temps, dit sèchement Greyback, qui avait dû apercevoir les secours lui
aussi. Finissons-en.
    – NON, NON ! FAIS QUELQUE CHOSE ! hurla Mériza.
    Clara hésita une seconde de trop. Greyback grogna, Mériza lança un regard implorant emplit de peur, puis elle disparu sous une masse de fourrure grise et de feuilles mortes qui s’envolèrent à cause de l’impact du choc.

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3 Commentaires
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Vincent Lepage
2 années il y a

Je dois dire que je suis agréablement surpris : j’ai toujours un peu peur des fanfictions, qui malmènent trop souvent l’histoire originale.
On sent que tu maîtrises bien ton sujet, et tu as soigné l’ensemble : grammaire et orthographe en sortent quasiment sains et saufs. Mais rien de bien méchant.
Une question, toutefois : un loup-garou avec des pouvoirs magiques ? De mémoire, on n’en fait mention ni dans les livres ni dans les films. Liberté artistique ?^^

Vincent Lepage
2 années il y a

En plus, je suis en plein visionnage des films : Remus Lupin, professeur de lutte contre les forces du mal, est un sorcier ET un loup-garou. C’est juste un sorcier qui a été transformé, et qui a conservé ses pouvoirs magiques. Donc, pas de souci avec ton histoire, juste un souci avec ma mémoire 🙂

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