Mes nuits file et se ressemblent , comme la copie d’une copie.
Nuits blanches et idées noires on fait leurs apparitions, me plongeant peu à peu dans la folie. Encore un peux plus vers cette noirceur immaculé.
Idées noires c’est certain, quand en fermant les yeux je vois son visage près de moi.
Réel ou illusion, hallucination débarquée depuis son départ forcé.
Elle ne peux voir la vérité, mais c’est plus facile de justifier,
ce que j’ai fait de bon et de mauvais.
Sa voix qui résonne dans ma tête essayant de me persuader que c’était moi le plus gros du problème.
À chaque minute j’ai peur et j’en oublie d’être rationnelle. J’entends les grains du sablier qui s’écoule encore un peut plus, me mettant à genou face aux circonstances atteignante qu’elle as provoqués chez moi, la nuit quand j’étais endormi.
Je suis complètement fêlé, elle n’est plus là et je ressent encore la lourdeur de son corps contre moi.
Je me dit que si je ferme les yeux elle sera de nouveau là à me vider de toute véracité.
En ce qui concerne l’Insomnie c’est moins sûr, car voila bien longtemps que je ne dors plus, j’ai déjà perdu 200 nuits et de nouvelles sont en préparation malgré que ça ne sois pas Morphée qui se soit échapper au courant d’une nuit d’été.
C’est bien moi qui fuis le sommeil comme la peste, chaque nuit un peu plus fort. Peur électrisante de perdre de nouveau la raison ainsi que ma dignité déjà bien trop piétiné.
Horrifié de sentir dans mes délires ses mains sur mon corps, l’écoutant me raconter des histoires à cette endroit ou elle m’as cloué la première fois, puis toute les fois suivante.
M’empêchant d’oublier que c’est elle qui m’as noyer.
Peur de lâcher prise une fois plonger dans mes cauchemars, prise en étaux dans les bras de satan.
Je suis complètement fêlé, je penser qu’une fois l’avoir quitté ça réglerai tous mes problèmes.
Seulement les conséquences de ses actes sont apparue et l’image de ses horreurs sur moi tourne dans ma tête comme dans un ciné.
La douleur n’a pas changé de poids même si désormais elle n’est plus là pour se charger de moi, même si ils s’en chargent très bien tout seul.
Je parle des mauvais souvenirs qui reviennent dans ma tête et les hallucinations d’un retour en arrière terrifiant comme si ses actes d’hier pouvaient encore me faire du mal aujourd’hui.
Un mélange amer d’insécurité. Un trou béant dans la poitrine qui me fait suffoqué et m’empêche de respirer.
« Petit salope tu as cru que c’était terminé,
Que tu n’avais qu’à fermer le chapitre, et reprendre le cour de ta vie, comme si de rien était. Tu a ruiné la mienne, mais tu as l’air d’aller plutôt bien.
Seulement moi je reste là, à ruminé les gestes du passé, regardant par la fenêtre les étoiles qui illumine mes idées noir. »
Aucun mur sur cette terre ne pourrait étouffer le bruit de mes sanglots tant qu’il me restera une seconde de souvenirs.
Je me souviens mieux maintenant. Je me souviens si bien que je veux tout oublier.
Je sais bien qu’une fois endormie, dans mes rêves je resterais bloqué, coincé avec elle, là où personnes ne pourra venir me sauver.
J’aimerai fabriquer du temps pour éloigner la nuit, pour l’éloigner de moi. Putin il faut que je redescende sur terre, si c’était possible je ne serais pas si cassé, un prototype, une version bêta.
Et puis pourquoi je fermerais les yeux, pour m’apercevoir qu’on est déjà demain c’est ça ?
Et rapidement comprendre que les épreuves et les craintes de la nuit passer réapparaîtrons à la nuit tomber.
Putin il est déjà 7 heures du mat, un nouvelle épisode commence.
Et je vivrai cette journée comme toute les autres, une larme cachée dans l’œil en sourirais comme ci c’était pas si grave.