Madame, vous êtes tellement belle
Sous votre jolie ombrelle
Vêtue de votre robe blanche
En ce glorieux dimanche.
Votre fidèle servant, je suis là,
Mais vous ne me voyez pas.
Vous ignorez mon nom
Arrivé d’un autre horizon.
Jamais vous me regardez
Jamais vous me parlez
Mais mois je vous adore
Pour mon plus grand tort.
Je devrais vous détestez
Pour ainsi m’ignorer
Mais je ne peux pas
La haine n’est pas en moi.
Je continuerai à vous regarder
Et à vous servir au pied levé
Comme un bon servant
Avec le cœur d’un amant.