Tendre est la nuit. Assis sur ce lit, c’est la deuxième chose à quoi j’ai pensé… Et j’crois bien que tu envahis mes pensés. Ce n’est pas normal, ce n’est pas réel, tout ça est juste sensuel. J’en suis arrivé à un point où j’en rêve. Que je rêve de toi sans cesse… Le chemin que l’on a choisit, je ne sais pas où ils nous mènera. D’ailleurs je ne sais même pas ce que tu veux toi. Comme les arrogants que je méprise, j’pensais savoir ce qui était dans cette idylle. Je me trompais. Les moments passés avec toi en valent clairement le détour et j’en souffre. J’en souffre actuellement. Je souffre car tu n’es pas là. Je souffre car tu n’es pas près de moi. Mais je ne m’en remets qu’à moi. Est ce donc ça ? Ce sentiment tant recherché ? Non, je ne pense pas. Ce sentiment est bien trop heurtant pour qu’ils soient décrits par de si belles émotions.
Mais alors, fais moi comprendre !!! Fais moi comprendre où je suis… Fais moi comprendre où l’on en est. Je sais que t’as été clair et moi aussi. Mais ce que l’on fait là n’a plus rien à voir avec ce que l’on s’est dit. On a clairement dépassé la ligne de l’inconnu. Ici se mêlant, joie, rire, extase et paradis… Putain de fou rire, je kiffe nos moments, comment puis-je le dire !?
Comment appelle-t-il cette zone? Je ne sais pas. Parfois je me surprends tu sais… Ah, tu ne le sais pas. Je me surprends à penser à toi de façon attachante et protectrice en oubliant que dans ta vie, je ne suis point une priorité. Je doute de moi, je doute de nous. Mais ensuite, je me rappelle qu’il n’y a pas de nous. Il y a juste de gosses qui font les fous. Et comme un fou, je pense à nous. À ces moments où on est au dessus de tout. Au dessus de tous… Et oui, ça me fait un bien fou bien que ça me trou de partout. Ta peau sensuel, j’ai envie de la sentir H24. J’crois je tombe dans un eroread mais je ne m’arrêterai pas là. Je veux écrire sans m’arrêter. Je veux tout déballer. Comme toi quand t’en as gros sur le cœur et que tu veux t’apaiser !! J’ai bien trop de choses à dire. J’veux exprimer ce que je ressens comme toi quand on le fait si tendrement. Violement aussi… Ça dépend du temps. Aussi surprenant que ça puisse paraître, tu n’as rien à envier à toutes ses pimbêches. Tu n’as pas le corps d’une ds mais quand tu rides on me, je me sens partir comme Héraclès… Et j’aime quand on se donne le contrôle en oubliant tout ce qui nous oppose. À l’aise, sensuel, mignonne… Ce petit visage complètement en transe que j’observe quand je te touche, me palit d’envie et me rend fou comme mouche. Je sais, j’suis un peu louche. Je me rappelle encore toi et moi dans la douche. Ou toi et moi, tes lèvres sur ma bouche, tes seins sous ma coupe… J’vais arrêter là. J’en ai trop dit mais tu ne le liras pas. Où peut être que si mais tu ne le sauras pas. Tu ne sauras pas qu’il s’agit de toi. En tout cas, moi je nierai. Je nierai le fait que je suis tombé. Tombé si atrocement. Je nierai le fait que je veux ta tête sur mon épaule à chaque fois qu’on est l’un contre l’autre. Je n’irai le fait que j’ai envie que tu te serres contre moi à chaque fois que l’occasion se présentera. Je nierai le fait que j’aime t’écouter me parler même si de mon côté, je n’ai pas aucune envie de dire un mot. Mais qu’importe, pour moi tout ça, c’est déjà échangé. Je n’irai le fait que j’aime partagé avec toi tout ces moments qui me rendent fous de joie. Je nierai. Je nierai tout. Je nierai que je veux un nous. En tout cas si l’envie de ce nous, détruits tout. S’il détruit tout ce qu’on a là, alors je ne le veux pas tant que ça.