Il se fixe puis d’un coup, il fléchit les genoux et foncent sur elle.
Il fait un hypercute avec sa main gauche. qu’elle bloque avec un seul bras et elle en profite pour riposter.
Elle met un coup de poing avec sa main droite que son adversaire esquive de peu, il a ressenti un courant d’air puissant sur sa joue à cause du coup qui passa à quelque centimètre de lui.
Il voit une ouverture à droite et il lui met un crochet du droit.
Elle se le prend, elle ne ressent rien mais en un instant,elle recula et se toucha la joue à cause de l’impact du coup car il avait fait comme contre Jaoao c’est à dire que ses muscles ont gagné en force.
Elle regarde son adversaire qui avait décidé de ne plus se cacher.
La pression de sa puissance était si forte que les membres de Chidun et les soldats de Suoyuan ont du mal à respirer, les capitaines tremblent et les personnes plus robuste dont Tanshuizhe suent de peur car ils font face à un ange de la mort malgré cette domination, elle ne se laisse pas dominer.
Les deux se regardent droit dans les yeux avec le désir de gagner car même si leur territoire est en jeux, un autre c’est rajouté celle d’affronter un adversaire redoutable et ils veulent savoir qui est le plus fort.
La tension est immense et tout le monde regarde ces êtres inhumains qui se font face et qui ont envie de dévorer leur ennemie.
Youhuoli qui sue, dit
« C’est quoi ce combat ? »
Xuyao était aussi surpris que lui. Zhenxi pose sa main droit sur l’épaule gauche de Youhuoli qui est à sa droite et sa main gauche sur l’épaule droite de Xuyao qui est à sa gauche.
Il déclare
« Regarder ce combat entre deux dragons, deux fatalistes. Nous sommes face à un duel entre deux personnes qui peuvent devenir des précurseurs. Regarder la puissance de votre frère quand il est à fond. »
Elle tend son bras gauche vers Meng avec les doigts bien écartés et recule son bras qui se recroqueville, paume de la main ouvert.
Il refonce de nouveau mais il reste prudent.
La scène qui suivit se passa en quelque secondes.
Tanshuizhe lance un coupe de paume avec le bras droit en le dépliant et utilise une rotation des hanches pour augmenter la longueur et la vitesse du coup.
Meng senti le coup grâce à son instinct mais il n’avait pas prévu cette vitesse et force.
Il se rendit compte que compte qu’il freinait plus vite vu qu’il est pieds nue et il pouvait freiner encore plus vite mais il risque de se blesser.
Il est entrain de freiner le plus vite qu’il peut puis il vu qu’il n’avait pas le temps d’esquiver et donc il ne pouvait que se défendre. Il croisa ses bras et fait en sorte que le coup touche la zone ou les deux bras ce touche.
Il se fait propulser mais se réceptionne très bien avec sa main droite et il freine le plus vite possible en se faisant mal aux pieds. Il atteint la limite.
Il a les bras qui l’engourdissent à cause du coup.
Cette technique était la plus puissante qu’elle avait et il avait réussit à s’en sortir alors qu’il ne la connaissait pas avec un beau bleu.
L’ancien chef de Chidun dit
« C’est la première fois qu’elle se fait bloquer cette technique depuis qu’elle est devenu une Shenshi. »
Elle le regarde surprise et agrandie son sourire.
Meng qui a repris le contrôle de ses bras, les secoues.
Il met son bras gauche derrière son dos et tend son bras droit vers elle puis il sert sa main droite fort.
L’obre noir de sa broche accrochait à son pantalon brille et l’aura noir apparaît autour de lui, il vient d’activer son œil divin.
Elle répond se serrant les droits ensuite elle les craque puis pour finir elle s’étire. Il a la même énergie qui apparaît autour d’elle.
Les spectateurs savent que la prochaine action sera la dernière.
Les soldats de Suoyuan sont les premiers a encourager leur chef et la personne qui a commencé à soutenir son chef et Zhenxi, le fidèle serviteur de Men qui fu suivit par ses frères puis ils ont ordonner à l’armée entière d’encourager leur roi en tapant de leurs lances sur le sol et en hurlant « Meng ! »
Les civils de Chidun voyaient l’encouragement fait par leurs envahisseurs à leur chef, ils décident de faire de même à leurs manières.
Il avait les jambes écartaient et fléchit. Ils montaient une de leurs jambes à l’horizontale et la faisaient réatterrir violaient. Ils levaient une main du même côté que la jambe lever. Ils se frappent avec la main lever sur leur torse. Ensuite ils font la même chose de l’autre côté.
Ils hurlent le prénom de leur reine quand ils font atterrir la jambes et quand ils se frappent le torse.
Ses encouragements les rendent encore plus motivés.
Aucun des deux ne veut perdre mais il en a bien un qui va échouer.