Le Tarot me révèle la carte du Monde, la tour s’effondre, entraînée dans un puit de tristesse sans fond, c’est là que je t’ai rencontrée.
“On disait de cette Femme qu’elle courait à contre courant. Dans sa quête de vérité absolue ne cherchait-elle pas son temple intérieur ?”
Ainsi j’allais consulter la Pythie en me rendant sur les vestiges d’un Monde en ruine.
Tu es ici chez toi me souffla Athéna !
Mon Olympe berceau de mes larmes salvatrices.
Les plus infâmes noirceurs de mon âme sont venues me visiter.
En alliées, telles des araignées cherchant à rejoindre la Lumière.
Porteuse du message de ce pas Sage.
Exaltée par tant de beauté, le coeur emballé, tachycardie rythmée par l’obscurité.
J’abdique ! Toi mon souffle 0, il n’y a que cela que je ressens même si je n’entend pas encore les murmures silencieux dans ma tête.
Je suis prête à t’entendre, je te ressens.
Avant le “JE” il y a le souffle 0
Très poétique. Si bien écrit . Bonne continuation.
Merci du coeur Marie Lune