Un foie, un cœur, fraîchement arrachés
et ma cervelle à tes pieds déposés
pour qu’enfin tu puisses de tes yeux vraiment
pouvoir contempler tous mes sentiments.
La tristesse de te conduire le soir
où tu me quittas cette fois dans le noir
je sais que c’est moi qui l’ai provoqué
ton père chez moi, m’ayant agacé.
Restent désormais les derniers regrets
de ne plus pouvoir, ton âme rattraper
enfuie dans les vignes, montent mes soupirs
je me souviens encore de tes sourires.