Un air frais et humide semblait traversé toutes les cellules les unes après les autres. Cela ne faisait pas plus de cinq minutes que j’étais là, et la solitude m’envahissais déjà. Autant d’homme derrière les barreaux. On est loin de s’imaginé ce qu’est réellement la prison. J’allais découvrir toutes les facettes de la vie carcérale. Des plus petites aux plus effroyable. Mais une chose est sûre, la prison n’était pas pour moi, je n’avais rien à faire ici. J’allais devoir faire attention à chaque instant, le peu que je savais de la prison c’était qu’il fallait rester discret sans totalement s’effacé et surtout jamais montré sa peur. Je fis mon lit sans dire un seul mot. Je ne savais pas ce que je devais faire avec mon codétenu. Devais-je me présenté ou bien attendre qu’il le fasse. A l’extérieur la réponse est simple, on se présente toujours en premier, mais ici toutes les règles ne sont plus les mêmes. Alors je d’décidais de le laisser entamé les présentations, ce qu’il fit de manière plutôt froide.
—Salut moi c’est Thim Hargard.
Déclara t’il en tendant la main en direction du lit du bas. Main que sera rapidement et fermement.
— Cooper… Martin Cooper.
— Bienvenu en enfer Cooper.
De peur de dire une bêtise je m’allongeais dans mon lit sans ne plus dire un mot. Cela ne faisait pas plus d’une que jetais en cellule et le temps me semblais long. J’avais l’angoisse qui me gagnait, pourtant je n’avais encore rien vu d’autre qu’un lit superposé entre quatre murs et devant une grande porte faite que de grands barreaux. Sans oublie, bien sur la fameuse toilette en acier. Seuls les barreaux, les toilettes et le lit sont réaliste dans les films le reste de la prison n’est pas vraiment pareil.
Pendant que mon codétenu lisait je ne sais trop quel livre j’essayais tant bien que de mal, de maitriser mon angoisse. Puis soudainement je me décidai à lui parler. Surement peut-il me donner des conseils utiles.
— Dit moi Thim. Tu es là pourquoi ?
Pour lui répondre son voisin de lit se penchât la tête dans le vide et le fixa la tête à l’envers.
— ¬Malheureux ! Tu ne dois jamais demander ça a un tolar ! s’il veut te le dire il te le dira, mais en aucun cas tu ne dois demander.
— Désolé je ne savais pas.
— Ça non plus malheureux ! Jamais t’excusé. En prison c’est un signe de faiblesse.
— Heu…. Très bien… merci.
— Ça non plus ne dit jamais merci !
Plus je parlais et plus j’avais l’impression de ne pouvoir rien dire.
Non je plaisante, tu peux dire merci. C’est ta première fois ?
— Oui en effet.
— Pas de panique, si tu respectes les règles du tolar, et que tu ne joues pas les gros bras ça va aller.