Guerre des hybrides chapitre 5 étrange pressentiment : vision fantomatique

Le repas est enfin terminé, Daisy et son amie sortent de la cafétaria se dirigent vers le casier. Daisy et Julia posent ses manuels soigneusement dans le casier. Elle interroge Julia :

— Je vais aller à la forêt, veux tu venir avec moi ? Sourit Daisy

— Avec plaisir, sourit son amie

— Je suis persuadée que la mystérieuse jeune femme est là bas s’étonne Daisy

— Certainement, on saura après, tu as interro ? S’interroge l’élève métisse

— Oui à la deuxième heure de cours de biologie s’exprime l’adolesscente

— Bon courage ! S’exclame Julia

— Merci ma belle sourit la lycénne

Elles se dirigent vers leurs salles de sciences, attendent leurs professeurs. Paula et Loana arrivent, se rapprochent de la lycéenne. Daisy, en aperçvant les deux élèves, souhaite de confronter à la jeune fille blonde et exiger des explication. Elle s’exprime :

— Paula, dit moi qu’est ce que tu es ?

— Il faut que tu trouves ma sœur d’abord, elle s’appelle Lola Dubons.

— D’accord, je chercherai dès que j’aurai le temps, d’accord ?

— Oui, j’ai encore un peu faim, j’aurais du avoir une gourde.

— Comment ça ? Pourquoi dis tu ça ?

— Je suis comme ça

La sonnerie retentit, monsieur Falkenberg, habillé d’un pull rouge, d’un pantalon beige et des chaussures marron, arrive, ouvre la porte. La troupe d’élèves entre silencieusement dans la salle, pose soigneusement le sac à dos.

Le professeur à son habitude allume le projecteur, le cours commence, le professeur explique paisiblement, Daisy observe le tableau, se concentre, essaye en vain de ne pas observer Paula Loana et surtout le spectacle.

Paula se lève, s’assoit à côté de la lycéenne. A sa surprise, elle ne comprend pas. La jeune adolescente. Elle lance un sourire radieux pour la première fois, s’exprime :

— J’ai faim, mais je peux me contrôler car je suis humaine.

— J’ai remarqué mais qu’est ce que tu es j’aimerais bien savoir ?

— Je peux te dire lorsque je te fais une petite entaille au bras, ta peau est parfumée. J’ai un petit odorat développé.

— Comment ? Es tu un vampire ? Se questionne Daisy

— Loin de ça, j’habite dans une maison mais aussi dans un autre endroit. C’est réservé qu’à Loana et à moi. Nous venons juste du Nord.

— D’accord, je comprends

La main de Paula s’approche de celle de Daisy, le trait est assez effrayant, il faut en convenir : une peau assez grisée, des ongles noirâtres et peu pointues. Dans sa trompeuse sécurité, la jeune fille ne tarde pas à oublier le changement de comportement de sa voisine de table. Elle tourne ses pensées vers des horizons plus souriants, Paula pousse seulement qu’un tout petit cri de grognement, s’est beaucoup assagie qu’auparavant, retourne à sa place.

La sonnerie retentit, les élèves rangent leurs affaires, se préparent au contrôle de biologie. Daisy, à son habitude, lors de la pause, reste à sa place, relit paisiblement une paragraphe de son manuel portant sur la génétique.

Les élèves sortent dans le couloir pour faire une pause, d’autres utilisent paisiblement leurs téléphones dans la salle. Monsieur Falkenberg sort, se dirige vers la salle des professeur, fait un café. Daisy, à son habitude, reste devant sa table, relit paisiblement un paragraphe de son manuel. Paula et Loana se lèvent, s’approchent de la jeune fille. La jeune métisse s’exprime :

— Après les cours, je te montrerais un endroit magnifique même si parfois nous sommes imprévisibles. C’est notre nature.

— Merci beaucoup ! Je comprends parfaitement.

Cinq minutes s’écoulent, le professeur distribue les polycopiés, portant sur une étude de document. Les élèves posent leurs sacs au fond de la salle, s’assoient, commencent l’interrogation. La lycéenne à la chevelure châtain fournit son travail paisiblement, réussit brillamment, délicatement. C’est la première personne à rendre le devoir.

Dix minutes passent, les élèves et Daisy sortent jusqu’à que monsieur Falkenberg l’interrompt. Il s’exprime avec facilité :

— Daisy ! Venez voir, je regarde votre copie, toujours aussi parfaite, je suis fier de vous. Mais votre comportement m’intrigue. Même monsieur Walker le pense. Qu’est ce qui vous arrive ?

Etonnée, c’est l’incompréhension, elle est persuadée que sa fatigue est liée à sa pensée en arboresecence. Elle prend la parole avec douceur :

— Je suis un peu épuisée, je travaille un peu plus.

— Je comprends parfaitement, reposez vous, il le faut.

— Bien sûr.

Daisy salue le professeur, descend, sort, attend son amie Julia. Dix minutes plus tard, elle la rejoint. Les deux jeunes adolescentes, comme convenu, se dirigent vers la forêt. Arrivée à destination, Daisy, immobile, en plein chemin bordé de feuilles mortes, demande à son amie :

— Voilà ce qu’on va faire, il faut qu’on y aille dans le cimetière, on cherche la mystérieuse jeune femme, d’accord ?

— Parfait, allons y !

Les élèves, après dix minutes de trajet, arrivent au cimetière. Les mousses vertes, de frondaisons tapissent les troncs d’arbres, elles se laissent tomber dans une atmosphère assez terrifiante. Elles s’assoient toutes les deux sur un banc fissuré tapissé de toiles d’araignées. Le souvenir de cet endroit rattrape la jeune Daisy, elle prend aussitôt son téléphone de son sac polaire, demande à Julia. A sa surprise, elle remarque son absence.

Gardant son sang froid, Daisy se lève, part à la recherche de son amie. Elle se dirige vers la forêt, elle entend à nouveau la voix. En repensant à la scène autrefois, elel s’interroge :

— Il y a quelqu’un ?

— Oui, je suis là Daisy, je suis Lily

Elle se retourne, il n’y a personne, l’environnement est désert. Apeurée, elle essaye en vain de parler avec cette fille, de savoir davantage. Les créatures existent mais lesquelles ? Ont elles une histoire ?L’adolescente se rassoit, elle observe plutôt une forte lumière blanche devant elle, une voix plutôt douce et paisible dit :

— Je suis là, fais attention à Paula, je voulais dire sa sœur.

— Connaissez vous cette fille ?

— Elle aurait dû être comme moi demandez à Julia

— Qu’est ce que Julia a affaire là dedans ?

— Prenez moi en photo au niveau de la lumière c’est moi.

— D’accord.

Daisy écoute, prend en relief, la photo est terminée. La jeune fille prend en photo, soudain, elle aperçoit son amie Julia à côté d’elle, son corps est assez abstrait. Le visage de l’autre jeune fille est plus visible. C’est l’incompréhension la plus totale, l’adolescente est choquée. Julia est elle un fantôme ? Est ce une amie imaginaire ?

Daisy se retourne, aperçoit Julia devant elle. Elle pousse un cri d’effroi, s’exprime :

— Julia, es tu un fantôme ?

— Non pourquoi ?

Elle touche le bras de son amie, elle ressent. Daisy est perdue dans ses pensées, elle montre aussitôt à son amie :

— Si regarde

L’adolescente allume son téléphone portable, montre à Julia. Elle est encore plus choquée que son amie.

L’heure suivante est pire

Pire, parce qu’elle est fatiguée, elle n’arrive toujours pas à s’en remettre, elle ne comprend pas la vision encore plus étrange de son amie, surtout l’origine de Lily n’est pas connue.

Elle appelle la mystérieuse jeune fille jusqu’à que la lumière blanche apparaît :

— Oui ma belle ?

— Es tu un fantôme ?

— Oui, je suis morte.

— Comment es tu décédée ?

— Je ne peux pas te dire, je vais me fâcher, je peux te pousser.

— S’il vous plaît, je ne suis jamais agressive, la sœur de Paula est elle vivante ? Au moins une indice

—Oui maintenant recherchez là, mais la manière de voir cette personne blonde. J’ai envie de me venger. Je peux être un esprit vengeur.

— La mystérieuse personne qui me suit ?

— Exactement, c’est un garçon cruel, tyrannique, il m’a trahie !

— Je suis navrée pour vous.

— Une autre indice avant que je regagne ma tombe, il est avec la sœur de Paula, maintenant regagnez votre place, je vous en prie.

Daisy est enfin sereine, car elle a un espoir de retrouver Lola, en espérant que Paula s’assagit pour toujours.