En quête de cette brise matinale ; je me perds,
Dans ce monde si vaste et obscure ; je me perds,
Entre tes larmes de chagrin et de peine ; j’y trouve,
Sur tes joues une pureté lubrique ; je te trouve,
Je me perds dans ton regard profond ; dans l’abime,
Je chute donc dans ce creux ; tu me surestimes ?
J’entrevoie cette lumière au loin ; suis-je libre ?
De ta pureté ne dit rien ; laisse-moi ivre,
La prunelle de tes yeux m’offre un contraste,
Promets-moi une chose ; Ô liberté ; reste chaste,
Face aux êtres qui égarent tes yeux ; qui te haies,
Ouvres ton cœur ; ta destinés ; aux êtres,
Qui te convoitent ; qui te cherchent ; tout cela malgré,
Un destin inexplicable qui fait peiner,
Prochain : Le sonnet du Regret