Oh! Toi la jolie fleur,
Ecoute uniquement ton cœur.
C’est la balade des gens heureux
Qui préfèrent éviter le couloir du peureux.
Oser une meilleure voie, c’est mieux
La partager peut être douloureux.
Sur le chemin de cette peur
Est le choix pour le meilleur
Le compte rempli de rêves sonne une alerte
Afin d’éviter une grosse perte.
Oui, c’est alors une promenade
Pour rechercher la meilleure pommade.
Chemins…, faisons
Nous nous rencontrons.
Tous protégés par le divin
Mais confondu avec le dit vin.
Le fonds est honoré
La forme s’en est dispersée…
Le courant tente de trouver le fil conducteur
Et le temps lui, suppose de retracer l’heure.
Oh! fine anse
Guide ton recueil vers cette chance
Afin que ton support en soit vain
Vers l’au-delà de cette merveille du lendemain.
Au printemps reprend en toi sans modération ces crudités
Durant l’été boit à volonté ce liquide sucré/salé
En automne préfère sans compter la couleur de ta société
Puis, l’hivers, observe ce qui s’est passé pour recommencer.
As-tu besoin d’une pommade?
Où, d’un massage un tant soit peu…nomade?
Oui: que cela fait du bien…
Non: apporte moi ce que tu me retiens.
J’adore ces jeux avec les mots, et ces jeux de mots.
Merci pour cette observation. Je l’applique constamment dans mes dialogues parlés en faisant le geste du mot. Cela plait ou selon le moment. Je persiste à le faire dans tous les sens plaire ou pas.
J’adhère à cent pour cent, on écrit ce qui nous chante.
Comme dans le vie, rester soi-même est accepter de ne pas plaire à tout le monde.