< 1 min
Dans ses yeux je trouve une mer noire.
Ils irradient sur moi un désir irrépressible. Et avec des aiguilles macabres ils me lient à l’art de la désorientation.
Je suis une triste marionnette de sa sombre lueur, et sans en avoir la moindre idée, elle a condamné mon existence éphémère.
Mais que pourrais-je faire de ton art inachevé ?
Donner un visage à ton essence me plonge dans des larmes éternelles.
Je continue à rêver de ton ombre, et dont je ne devrais pas me nourrir des fruits.
Car même si je marche vers toi, ou que la route te mène vers moi,
Nous savons que notre destin a déjà abandonné.
Est-ce de l’amour, ou est-ce juste mon idée de ce que ça devrait faire ?
Peut-être que je trouverais la réponse dans tes bras, ou avec la douce brise de ta voix.
La vérité est que j’écris ce que je ne peux pas dire, parce que la fureur de tes mots a marqué ma phrase,
Je vais donc attendre votre arrivée dans mon paradis hanté. Où le diable lui-même a gravé son nom à l’entrée.