De quelle manière dois je me dévoiler à toi ?
Me démasquer, en ai je vraiment le droit ?
Tant que tu te croira supérieur à moi
Je serai jugée, jaugée pour bien moins que cela
Bien trop souvent violée parfois (par foi) dogmatisée
Le viol n’est pas que vagino-anal
Usé tout aussi violemment en intra cérébral
Gare à toi, enfant des ténèbres car envers moi tu n’as plus aucun droit,
Cesse de me croire faible alors que tu t’adresse à une Déva
L’indigo en moi en tes balivernes ne croit plus
Le zèbre de ton canasson à déjà le dessus
La lumière de mon être ébloui dès aujourd’hui la noirceur de tes nuits
Par la droiture de ma posture, sous la semelle de ma chaussure je soumet à ce jour ton ombre (nombre)
Absente ainsi à ma vue, cette réalité est, à ce jour déchue
Douceur et sérénité, au creux des cœurs est lovée
La liesse jadis utopie est désormais réalité
(Ce texte est un composé de mot associé à un ensemble de photo que je ne peux exposer ici)
https://youtu.be/WABvlM_2o5c
Je suis troublé par la beauté toute entière de cette réallisation. Révélante de sentiments et d’émotions. Les mots sont justes et percutants et atteignent le coeur tout comme les photos les postures les expressions. De l’art !