Divine féminine, je suis là;
Je t’éfleur, je te sent et je te vois;
Depuis bien trop longtemps,
Luxuriante et sensuel, tu ma fais
perdre la notion du temp;
Moi la proie et toi la prédatrice,
Tu es la liberté et je suis enchainé;
Quand est-ce que tu trouveras la clefs,
De ces chaines qui font saignés mes poignets;
M’aimeras tu comme la première fois que l’on s’est vue?
Au bout de combien de temps tu ne me voudras plus;
Car si moi je suis prisonnier , tu as déjà était
sequestré;
L’homme, et son immonde perversion, t’as détruite;
Tes marques peuvent en témoigner,
Tu as seulement pris la fuite;
Ne pouvant plus te regarder dans un miroir,
Tu t’es mis à courir, à sourir, à gémir sans la moindre raison;
Oui, tu te l’es promis, tu ne seras plus jamais la même;
Plus de larmes, plus de sang, le
calvaire à assez coulé;
Le bonheur était à tes pieds,
Et tu n’as pas saisies la clefs.