Derrière cette vitre,
Il y a une vie, une orque
Qui obéis à un humain,
Tel la marionnette d’un ventriloque…
Elles ne retrouveront
Ni la mer
Ni les vagues
Mais la mort
Et les algues.
Derrière les fous rires éclatants,
Leurs pleurs se dissimulent
Et c’est dans leurs lits de mort
Qu’elles dansent au rythme des bulles.
De ce bruit assourdissant,
Qu’on appelle “la maltraitance”,
On fait taire
Leurs cris inquiétants
Pour avoir plus d’argent.