Trois chiffres ,un cinq un autre cinq et un neuf , luminescent éclairaient faiblement la chambre d’Adrien . Cette petite pièces était composé d’une bibliothèque, d’un bureaux, ou était posé le seul ordinateur de la maison, et d’un lit à une place où était accoudée une table de nuit en verre soutenue par des barres de fer dont l’extrémité commencée à prendre un teint de rouille. Tout à coup la petite boite où était inscrit les trois chiffres les fit changer jusqu’à ce qu’apparaisse un six suivit de deux zéro et à cette instant un bruit strident sortie de cette boite jusqu’a être stoppée nette par la main d’Adrien qui surgit de la couette. Ce dernier ce redressa puis alluma sa lampe de chevet avant de ce lever et de prendre sa douche dans la salle de bain située juste à côté de sa chambre. Après avoir nettoyée son corps mais aussi revitaliser ses muscles engourdie par la fraîcheur des premières nuit de novembre il partie dans la cuisine pour attraper une pomme verte, ses préférée, qui lui servie de petit déjeuner. Sur le chemin il croisa sont beau père endormi sur son canapé avec la télé encore allumé . Adrien éteignit la télévision avant de poursuivre sa route et de retourner dans la salle de bains pour ce brosser les dents et de ce raser. Enfin il s’habilla chaudement pour ce protéger des premiers froids , passa la porte d’entrée puis la referma. Tous les matins depuis plusieurs mois il suivait le même rituel, après être partie de chez lui il prenait le métro pour ce rendre à sont lieu de travaille et pointait à 8 heures. Mais aujourd’hui Adrien constate, dès sont arrivés, que le bureaux à côté du sien est inoccupée. Il pris donc son téléphones pour voir que Marc lui avait envoyé un message .
“Désoler mais tu va devoir te passer de moi, j’ai un extinction de voix à cause d’hier.
Bonne chance”
En l’absence de son amis Adrien ne pus s’empêcher de penser que la journée s’annoncé beaucoup plus longue que prévue. Et du matin jusqu’au soir il trouva , en effet, le temps long car il eu affaire à des gens peu aimable qui, pour la plus part, lui raccrochèrent aux nez.
Quand finalement il eu fini sa journée Adrien eu le malheur de tomber sur monsieur Pinard , son patron.
-Ha Robin vous tombé bien j’aie deux mots à vous dire !
Lui dit il d’une voit agressive .
-Oui monsieur Pinard?
Répondit Adrien d’une voix lasse.
-Regardez ça !
Lance monsieur Pinard en lui tendant une feuille qu’Adrien pris et lu. Son nom était marqué en haut à gauche de la feuille juste en dessous d’un tableau ou une suite de chiffre ce succédait.
-Alors Robin? Quesque vous en penser ?
-Pas grand chose monsieur.
-Es-que vous savez au moins ce qu’es ce que vous tenez dans les mains
-Un tableau récapitulatif de mes performance en temps que vendeur estimable et estimée de cette entreprise!
Dit Adrien comme si il récitait une leçon .
– C’est exact mais ce qui m’ennuie c’est qu’ au vue de ces chiffres vous êtes loin d’être un vendeur estimables.
– Sauf votre respect monsieur jais effectué plusieurs vente hier!
– Oui 6 ventes! 6 vente sur les 10 journalière que nous exigeons et encore c’est votre meilleur jour du mois. Je vous conseille donc de vous mettre sérieusement au travail. Je ne vous ais pas embauchée pour que vous attendiez que le temps passe. Je savais que je prenais des risques en vous engageant, personne ne veut de vous nulle part mais moi avec mon âme charitable j’ai décidé de vous laisser votre chance, mais j’aurais du me douter que vous ne seriez pas reconnaissant…
Alors que monsieur Pinard continuait a faire preuve de narcissisme en débitant un nombre record de je par secondes, le flot continue de parole abaissantes commençaient à chauffer les nerfs d’Adrien.
La voix de son patron lui semblait de plus en plus lointaine jusqu’à ce qu’elle soit incompréhensible mais toujours aussi énervante. Adrien ressenti alors comme un coup de chaud dans le haut de sont crâne. Ce petit homme, idiot qui touchait le double de sa pay ,qu’il gagné d’ailleurs en harcelant ses subalternes, le mettait hors de lui. Chacun des mots qui sortait de la bouche de ce tyran miniature était comme un bidon d’essence lancé dans le brasier qu’était maintenant l’intérieur de la tête d’Adrien. Ses poings ce serrent et son souffle est de plus en plus fort. Intérieurement Adrien ne cessent de se répéter “reste calme , reste calme”.
– Alors ors de ma vue et c’est le dernier avertissement que je vous donne Robin.
Seule les cinq premiers mot de cette phrase furent enregistré par le cerveau d’Adrien. Sans un mot il sortit du bâtiment en jetant un œil à sa mains ou sa peau était rouge sang tant ses ongles c’était enfoncé dans sa chaire. Sur le coup de la colère Adrien n’avais rien sentit. Il ce dirigea alors ver le métro qu’il atteignit en peut de temps. Une fois arrivé dans la stations de métro Adrien ce trouva debout avec de nombreuses personnes en train d’attendre la prochaine rame. Une ambiance pesante règne dans la station, presque toutes les personnes présentes n’attende qu’une seule chose. Rentrer chez elles après le travail ou l’école et ce le plus vite possible.
Encore énervé par la remontrance de Mr Pinard Adrien pensa un instant à passer devant tout le monde pour être sur le rebord des quais et donc pour être le premier à monter dans la ram. Cependant il pris sur lui car si une seule personne lui faisais une réflexion ou pire lui lançait une insulte il craignait de perdre le contrôle sur lui même et de provoquée une bagarre.
Il s’appuya donc sur un des piliers de la station en attendant la rame. Pour passer le temps et pour ce calmer Adrien ferma les yeux puis ce perdit dans ses pensées il s’imagina dans la chambre d’un hôtel de luxe avec un lit en soi et une immenses armoire en bois peinte en blanc avec des rebords doré. Il y a également un lustre accroché à un plafond orné d’une fresque, peinte à l’intonaco, représentant des chevaliers en train de jouter.
“Non pas du luxe, c’est bon pour les riches qui on leur petit train de vie.”
Pensa-t-il.
Il imagine alors un lit plus simple avec des monture en bois vernis, une petite armoire et une petite table de nuit en bois vernis eu aussi , de même que tout les murs, le plafond et le sol de la chambre. Oui il est dans un chalet, un chalet avec une vue sur la mer.
“Non pas la mer, c’est trop classique”
Pensa-t-il.
Il imagina donc une fenêtre donnant vue sur une forêt remplis de sapin et de gentiane.
Il senti presque l’odeur des sapins et crue même entendre des oiseaux chanter. Oui ce sont bien des oiseaux qu’il entend, cette succession de bruit aigu qui lui viennent de son imaginaire le berce et le détende peu à peu. Il est soudainement ramené à la réalité qu’an il entend le refrain de la chanson “Dream one ” d’Aerosmisth, à un volume puissant à côté de lui. Il vit alors un jeune homme blond qui venait de mettre le volume de son téléphone au maximum.
– Hey ! Les écouteurs tu connais ?
Lance Adrien, furieux d’être coupée dans ses pensées.
– Y sont cassée.
Lance le blond d’un ton indifférent et sans même lancer un regard à son interlocuteur.
– Coupe ça si -il te plait.
Répond Adrien.
– Mais quesque ça peut te faire a toi ? En plus il est bien ce morceau !
Décontenancée par l’idioties de son interlocuteur Adrien lance d’une voix calme.
– Qui soit bien ou pas c’est pas le problème, tu trouve pas que c’est déjà assez bruyant ici?
-Ok ok.
Répond le blond en coupant le son de son téléphone.
-Merci beaucoup.
Fit Adrien.
Un grand bruit ce fit entendre dans la station , enfin la rame été arrivée. D’abord soulager Adrien fut dépitée lorsqu’il vit que la rame contenait déjà beaucoup de gens et que tout le monde ne pourrait pas rentrer dedans.
Adrien se résolut à attendre la prochaine rame à l’instar du blond qui soupire à l’idée de devoir encore attendre et ce sans musique.
Adrien regarda les gens se bousculer devant les portes des rames pour avoir une petite place. Cela l’impressionna car même si il avait très envie de rentrer chez lui, il ne s’imagine pas ce réduire à se serrer au milieu des gens sentant la sueur et le parfum bon marché. Ce spectacle dura une bonne minute. L’attention d’Adrien fut portée sur un homme bronzé de peau et aux cheveux recouvert de gel qui transportai deux gros sacs.
” Il a de l’espoir lui, les gens se serrent déjà à l’intérieur de la rame pour que les portes puissent ce fermer, il rentrera jamais avec ses sac”
Pensa Adrien. Mais à sa grande surprise l’homme lança l’un de ses sacs par dessus les gens pour le faire rentrer dans la rame. Adrien se demanda si il allait faire pareil avec le second et si il allait lui même sauter par dessus les gens pour rejoindre ses sacs. Cette idée le fit sourire. Mais les portes se fermèrent et la rame démarra. L’homme resta donc sur le quai.
“Dommage”
Pensa Adrien.
Mais l’homme n’avait pas l’aire dérangée d’avoir perdu un de ses sacs. Il posa le second par terre et l’ouvrit pour en sortir un AK-47.
Adrien remballa immédiatement sont sourire. Des centaines d’information lui passèrent par la tête en un millième de seconde, est-ce c’est un faux ? Est-ce que c’est une caméra caché? Est-ce que je vois seulement bien?
Toujours le fusil dans les mains l’homme se tourna ver Adrien qui ce précipita in-extrémiste derrière le pilier ou il était appuyé avant d’entendre une série de détonation, de nombreux hurlements et des bruits de pas ce firent entendre.
Adrien vit un corps tomber devant lui, c’était le blond avec la corp criblé de balles.
Choqué Adrien eu la bouche béante mais il ne ressenti rien d’autre , il ce sentit comme vide , aucune émotion, aucune pensée, ne le traversa alors que les détonations continuée. Cependant il se reprit vite et l’émotion qui lui vin était la peur. Tout d’un coup ce fut le silence. Adrien regarda rapidement derrière son pilier pour voir L’homme entouré d’une dizaine de cadavre. Il cherchait à nouveau dans son sac. Adrien chercha la sortie du regarde mais elle était trop loin pour qu’il puisse l’atteindre sans se faire tuer. Soudainement une voix féminine et strict ce fit entendre.
-Méharis posée votre arme!
Adrien vit une jeune femme sur le quai d’en face armée d’un pistolet braquer l’homme. Cette jeune femme avait les cheveux brun coiffée en queue de cheval , mais ce qui surpris le plus Adrien était sa tenue, une sorte de Licra noir moulante.
L’homme se jeta à terre et tira une rafale en direction de la jeune femme qui, elle, se mit à couvert derrière un pilier comme celui d’Adrien.
L’homme retourna à son sac pour y sortir un boitier électronique tout en continuant de tirer sur le pilier ou ce trouve la jeune femme. Adrien compris tout d’un coup que le boitier était un interrupteur et que l’homme avait sûrement cacher une bombe dans le sac qu’il avait jeté dans la rame.
L’homme tourne le dos à Adrien qui sans réfléchir pique un sprinte, ce jette sur l’interrupteur et réussis à le lui arracher des mains avant de la jeter sur la voie ferrée au milieu des lignes électrifiée.
D’abord surpris par ce jeune homme sortant de nul par L’homme ce ressaisie vite et frappe, de ça mains maintenant libre, Adrien au thorax. Le souffle coupée ce dernier tombe par terre avant de prendre une balle dans l’épaule. Malgré la douleur Adrien vois l’homme pointer le canon de son arme sur sa tête.
– Ho merde !
Lâche Adrien horrifié par sa propre mort . Il ferme alors les yeux.
Une détonation retentit.
Puis une deuxième.
Puis une rafale.
Adrien rouvre les yeux et vois l’homme s’enfuir en courant. Il tourne donc la tête et voix la jeune femme qui le regarde depuis l’autre quai. Soudainement sa vision ce trouble, il regarde son épaule et constate qu’il a perdu beaucoup de sang avant de perdre connaissances.