Adrien ouvrit les yeux pour les refermer aussitôt. Une lumière puissante lui éclairé le visage de tel sorte qu’il avait l’impression de fixer le soleil même avec les paupières close. Il met sa main devant ses yeux pour y voir plus claire et se rend compte qu’il est dans un lit aux pieds métalliques lui-même dans une salle entièrement blanche du sol au plafond et sans fenêtre. Il remarque également qu’il est habillé d’une blouse bleu d’hôpital. Adrien comprit qu’il se trouvait dans une salle de réveille. En ce redressant il sent une légère douleur à l’épaule il y jette donc un coup d’œil pour s’apercevoir que sa blessure est recouverte d’un pansement. Il essaya de remettre ses idées en place et se souvint de l’attentat et d’avoir été blessée.
– Y a quelqu’un?
Crie t-il sens obtenir de réponse. Il chercha quelque chose qui ressemble à un beeper pour appeler une infirmière mais le lit, la porte et la lampe au plafond sont les seuls éléments présents dans la pièce. Il se met alors debout et sent le froid des dalles blanche sous ses pieds nue. Il ouvre la porte pour arriver dans une autre pièce, toute petite, ou il y a un miroir, un lavabos, une poubelles, une cuvette de wc , un banc avec des vêtements dessus et une autre porte. Sur la pile de vêtements il y a une feuille de papier qu’Adrien prend et lit.
“Il serait plus confortable pour vous comme pour nous que vous vous habillez avant de franchir cette porte. Ensuite sortez, prenez à droite,puis à droite et la première porte à gauche.
PS: Ne parler à personne dans le couloir. ”
Désorienté mais résolues à découvrir ce qui se passe Adrien enfile donc les vêtements posés pour lui. Il y trouve un tee-shirt bleu marine avec un petit M majuscule écrit en noir en haut à gauche. Avec ce tee-shirt il y a un jean basiques , des chaussette , un caleçon noir et des chaussures en faux cuire de la même couleur. Après avoir enfilé ces vêtements Adrien jette la blouse d’hôpital dans la poubelle et tourne la poignée de la seconde porte. Un long couloir blanc sens suivies. Ce couloir large était longé de lumière incrustée dans les angles du plafond mais le plus curieux était les angles du sol qui était creux et qui laissée circuler de l’eau. Tout cela crée une allée de dalles noire longée de deux petits canaux d’eau circulant le long des couloirs avec des murs blancs bien éclairé. Tel qu’il était indiqué sur le papier Adrien prit à droite du couloir jusqu’à arrivée à une intersection où il prit de nouveau à droite . Il vit deux hommes, dont un appuyé sur le mur en train de discuter. Ils s’arrêtèrent de parler dès qu’ils virent Adrien pour le fixer en silence. Ce rappelant de la note il passa sans leur parler et trouva la fameuse porte à gauche qui ressemblait à une porte d’entrée banale avec un interphone et une petite caméra à côté. Il appuya sur le bouton en dessous de l’interphone, la caméra bougea et en même temps une voix lui répondit.
– Entrée.
Il entendit le bruit d’une serrure qui ce déverrouille et la porte s’entrouvrit. Au moment où il entre la conversation entre les deux hommes repris. La pièce à les caractéristiques d’un bureau à l’exception qu’elle est immense, que les mures latéraux sont longés par de grandes étagères pleines à craquer de livres et qu’un grand canapé de cuire blanc ce trouve le long du mur à droite de la porte . De plus il n’y a aucune fenêtre et sur le mur du font un immense écran plat domine la pièce. En plein milieu ce tien un homme assis à un bureau rectangulaire imposant. Les cheveux parfaitement coiffés en arrière de l’homme trahissent de leur teint grisâtre un âge visiblement avancé. Il porte un costume cravate impeccable avec une chevalière en argent ou Adrien lue les lettres L et P en écriture calligraphique .
-Ha monsieur Robin , je vous en prie asseyais vous.
Adrien s’assoie face à lui dans un fauteuil aux contours arrondies et à l’intérieure extrêmement confortable. S’attendent à des explications sur le lieu ou-il se trouve il laisse la parole à son interlocuteur mais l’homme le fixe et reste silencieux avec les mains croisé sur la table . Cette situation gênante dure quelque instant avant qu’Adrien ne tente de briser la glace.
– Excusez-moi , mais je peux savoir où je suis ?
– Non vous n’avez pas ce droit !
Adrien fronce les sourcils, surpris par cette réponse, l’homme continua.
– Comment va votre épaule ?
– Heu… bien merci, mais pourquoi je n’ai pas le droit de savoir où je me trouve ?
– Car je ne peux vous le dire avant que vous n’ayez acceptez ma proposition.
– Quelle proposition ? Et qui vous êtes d’abord ?
-Appelez-moi monsieur M ou juste M et pour ce qui est de la proposition en question…
Monsieur M , prit une télécommande, fit pivoter son fauteuil de 180 degré et alluma l’écran plat au fond du bureaux . Adrien reconnus le métro où il c’était fait tirer dessus. Il vit de nouveau la scène à laquelle il avait assisté, le sac, les coups de feux et cette femme jusqu’au moments où il se jette sur l’homme avec le détonateur, à ce moment l’image ce fige .
– Pourquoi avez vous sauté sur ce type ?
Lui lance monsieur M en le regardant de nouveaux.
– Pour ne pas mourir j’imagine.
– La rame de métro était déjà loin, vous ne risquiez rien et vous le saviez.
– Je sais pas j’aie simplement réagi.
– Savez-vous combien de personnes aurez réagi comme vous dans cette situation ? Statistiquement parlant 62% ce seraient enfuis ,34% seraient restée immobiles tétanisée par la peur, 3% auraient filmée la scène avec leur téléphones et seulement 1% auraient, comme vous ,attendue le moment opportun pour agir.
– Vous pensez sérieusement, que plus de gens aurais pris le temps de filmer plutôt que d’agir ?
– Que voyez vous le plus souvent dans les médias monsieur Robin, des images amateur d’attentat? Ou des civiles qui ont tenté de les contrecarrer ?
Adrien reconnue la pertinence de l’argument de son interlocuteur.
– Ceci étant dit on ne peut reprocher à personne d’avoir peur de faire ce que vous avait fait dans ce genre de situation.
– Bon ok, je me suis jeté sur lui et alors ?
– Alors vous avez sûrement sauvée les centaines d’âmes que contenais cette rame. Je ne sais pas si vous vous rendez vraiment compte.
– A vrais dire je n’ai pas eu le temps d’y réfléchir.
– Oui, désolé pour cet enlèvement mais notre agent sur place a eu peur que vous ne succombiez à votre blessure avant l’arrivée des secours, elle vous a donc prodigué les premiers soins et ramenée ici ou nous vous avons soignée et transfusé du sang.
– Votre agent ?
– Oui notre agent, nous somme une organisation secrète luttant contre le crime, l’escroquerie à grande échelle et le terrorisme telle que vous l’avez vue dans ce métro. C’est pour cela que je ne peux encore vous donner le nom de l’endroit où vous êtes car c’est notre siège.
Adrien laissa planées un court instant de silence pour voir si l’homme en face de lui allait lui révéler qu’il était victime d’une camera caché, mais monsieur M n’en fit rien. Donc Adrien répondit d’un ton hésitants.
– Non arrêté! Vous êtes des agents secrets ?
Un sourire en coin de lèvre apparue sur le visage de M.
– Pas vraiment ,nous sommes plus proches de justicier que d’espion car nous ne sommes pas soutenue par le gouvernement de plus nos agissement serais illégal si la justice en avait connaissance . Voyez-vous nous vivons dans un pays où le nombre de morts à cause de la violence et relativement bas , en partie grâce à nous d’ailleurs. Mais depuis plusieurs dizaines d’année nos effectifs sont insuffisants pour combattre efficacement les personnes mal intentionnées. Le fait est que nous serions intéressés par une recrue telle que vous.
– Vous me proposez de travailler pour vous ?
– Exact, à moins bien sure que vous préfériez garder votre job de télémarketing.
Adrien d’abord agréablement étonné par cette demande ouvre une bouche béante, regarde l’écran, referme sa bouche et pointe du doigt l’homme qui lui a tirée dessus.
– J’apprécie la proposition mais je ne suis pas de taille face à ce genre de type.
– Bien sûre que non, pas encore, mais nous pouvons vous former pour l’être.
– Et si je refuse ?
– Et bien vous rentrez chez vous .
– Vous ne craignez pas que je le répète à tout le monde?
L’homme afficha un visage lasse avant de se blottir au fond de son fauteuil, de croiser les doigts, et de regarder le plafond en faisant tourner de gauche à droite sont fauteuils.
– Répéter quoi ? Que vous vous êtes réveillez dans un endroit où un homme en costume cravate appelé monsieur M vous a proposée de devenir un justicier pour le compte d’une organisation secrète ? On croira juste que vous regardez trop de film américain.
– On me croira si je montre la vidéo de surveillance du métro que vous venez de me montrer où l’on voit votre agent.
– Vous voyez, après ça ne me dite pas que vous ne feriez pas un bon élément ! Mais malheureusement pour vous nous sommes les deux seuls personne au monde à avoir vue ces images et à part vous, le terroriste et notre agent tous les témoins potentielles sont mort ou ce sont enfuit avant d’avoir vue quoi que ce soit. Personne ne sait ce que vous et notre agent avez fait.
– Et vous ferez croire aux autorités que c’est le terroriste qui a fait disparaître les vidéos ?
Impressionnée par l’esprit vif d’Adrien Monsieur M haussa un cil mais ce repris immédiatement en déclarant.
– C’est exact. Maintenant dite moi, que donneriez pour avoir connue votre père ?
Adrien plisse les yeux et répond sur un ton méfiant.
– Je donnerais chère.
– Je n’ai malheureusement pas le pouvoir d’exaucer votre souhait mais je peux vous permettre d’empêcher que ce manque que vous avez ressentie arrive à d’autre à cause d’acte de violence.
– Comment vous pouvez savoir autant de chose sur moi ?
– Je me suis beaucoup documenté sur vous. Adrien Robin, 20 ans , nées à la maternité Sainte Félicite à Paris, a emménagé avec sa mère ,veuve, Mathilde Robin, à Lyon à l’âge de 4 ans , rapport médicaux rapportant de possible maltraitances juste après le mariage de sa mère , à obtenue un bac scientifique avec mention bien, est entré dans la vie professionnel l’année suivante et s’est fait renvoyer de nombreux emploie pour comportement agressif . Pensé bien que l’on ne propose pas ce genre de poste au premier venue sans en savoir un minimum sur son passée.
-Et malgré tout vous voulez me recruter ? Enfin je veux dire que j’aie pas un CV en or.
– Comme je vous l’ai dit nous pouvons vous former. Je ne vous considère pas comme une œuvre finie mais comme la bonne argile pour la sculptés. Nos critères de recrutement sont presque exclusivement basés sur la stabilité psychologique et la motivation de sauver des vies. De plus vous toucherez le triple de votre salaire actuelle. Alors? Ça vous tente ou pas?
– Je ne sais pas il, me faut un peut de temps pour y réfléchir, j’aie tellement de questions et ma fam…Merde maman!
Lâche Adrien horrifié à l’idée que sa mère ait fait un arrêt cardiaque après avoir appris qu’il était sur les lieux de l’attentat.
– Ne vous inquiétez pas pour votre mère jais vue sont dossier médical et vous nous en excuserai mais hier “vous” lui avais téléphoné , avec votre téléphone , avant qu’elle n’apprenne l’attentat. Nous lui avons dit que vous alliez bien , que vous étiez au poste de police et que vous en auriez pour des heures à répondre aux questions des policiers.
-Hier ?
– Voilà maintenant 20 heures que vous êtes parmi nous .
-20 heures ! Je suis désolée mais y faut vraiment que je rentre chez moi.
– Je vous en prie . Ha et vous pouvez garder les vêtements ils sont offerts.
– Je vous recontacte comment ?
Dit Adrien en se levant du fauteuils.
– Appelez le premier numéro de votre journal d’appel.
Lui répond M en lui tendant un téléphone portable noir aux contours argentés.
– Un autre petit cadeaux, on à transférée vos contactes et le code PIN est toujours le même. Une fois sortit de ce bureau aller voir les deux hommes que vous avez croisé en arrivant et dite leur juste “chez moi ” et il vous y amèneront avec un sac sur la tête.
Adrien hoche la tête prend le téléphone et ce dirige jusqu’à la porte. Au moment de tourner la poignée il marque un arrêt, ce retourne puis lance à M sur un ton décidé.
– Je veux savoir où je suis !
Monsieur M affiche un large sourire et répond.
– Bienvenue au Mistral Monsieur Robin!
Fin de la Partie 1.