Oh! peau lisse jolie
Mon corps devient ton gouvernement
Au centre, mon cœur, y représente ton président
Qui anime le plus beau canevas dont tu en reluis
Rassures toi, au sommet un pôle hisse
A chaque instant tous les moyens les plus fous.
C’est un don qui affirme le plus bel atout
Qui te permet de réaliser un art que tu lui tisses.
Oui, c’est le cerveau qui gère tout ce qui t’appartient
Afin de faire rayonner tous les vaisseaux qui s’y unissent.
Tu n’as pas toujours compris,
Tant pis!
Tu récites à chaque moment
Ce que tu en ressent
Les frissons sont à la fois tes armes
Et tes paroles qui désarmes.
Le doigté est ton soupir dans un cri
Sur lequel tu en jouit.
Tu réponds simplement à la demande
Que tu as reçue dans l’objet d”un commande.
Toujours, mains derrière le dos
Tu profites d’une petite faiblesse
Pour me traîner sur le tapis de tes mots
Qui de toute façon me conduiront dans ton ivresse.
Ce menu bucolique
M’apparaît comme musique
Le son se confond dans la pièce de cette brigade
Où les yeux dans les yeux tu me regardes
Dans le besoin de glisser en moi
Une allure qui mérite ce que je te doits.
Oh! peau lisse jolie
Force moi à te remplir
Ce dont tu désires
Tu avances vers moi de manière impolie
Pour obtenir ce que le cerveau raisonne
Comme si je le cœur me l’ordonne
Dans le mouvement de mon corps
Qui s’exalte en en redemandant encore.
Tant de fois je me souviens
De ce cor perdu qui me revient…
Je sais que vous êtes anti -peau lisse
Je sais que votre passion se faufile
Sur des batailles corrompues qui vous unissent
Pour contredire votre profil.
Le coup de poing reçu sur mon visage
Me réconforte sur la boucherie de passage
Au fonds, je me retrouve remplie de bleus
Me traduisant que le débat que j’espérais heureux
S’est transformé d’un supplice
Haut de ma jolie peau lisse.