La mer est ton océan d’amour.
Elle berce ton évolution chaque jour.
Elle agite ton parcours.
Elle admire tes discours.
Ne pleure plus…
Tu ne t’en es pas aperçu,
La mer coule dans tes veines,
Elle couvre tes peines.
La mer s’est éclairé par ton ruisseau,
Mêlé de surprises, de joies, de tristesses, de colères pour ton équilibre,
Tes larmes sont une goute d’eau.
Elles refoulent ton égo pour te rendre libre.
Ne pleure plus…
Tu ne t’en est pas aperçu,
la mer coule dans tes veines,
Elle couvre toutes tes peines.
La mer te laisse derrière elle un étang,
Pour en faire un loisir du temps.
Décoré de gravier, de verdure,
Tu en fait une belle culture.
Ne pleure plus…
Tu ne t’en es pas aperçu,
La mer coule dans tes veines,
Elle couvre tes peines.
La mer te rassure par son lac.
Il est gorgé d’eau pure
Que tu lui as transporté par la voix d’un murmure
Un champ amplifié de magnifiques actes.
Ne pleure plus…
Tu ne t’en es pas aperçu,
La mer coule dans tes veines,
Elle te couvre toutes tes peines.
La mer est une terre, une montagne remplies d’eau
Elle est profonde, tu n’en vois pas le fonds.
Le poids de son eau englouti les secrets que contient ta peau
C’est ce qui te représente en quatre saisons.
Ne pleure plus…
Tu ne t’en es pas aperçu,
La mer coule dans dans tes veines,
Elle couvre toutes tes peines
La mer contourne ton île
Elle lui accorde une place futile,
Son menu nourrit une certitude
Elle est l’abondance de tes études
Ne pleure plus…
Tu ne t’en est pas aperçu,
La mer coule dans tes veines,
Elle couvre toutes tes peines.
La mer est ton paysage.
Ce que tu en veux, elle te le partage.
C’est elle qui t’a créé.
Pour elle tu es son éternité.
Ne pleure plus…
Tu ne t’en es pas aperçu,
La mer coule dans tes veines
Elle couvre toutes tes peines.
J’ai adoré !
J’entends encore cette parole « La mer coule dans tes veines… Elle couvre toutes tes peines… »
C’est une très belle image. Un poème charmant ! Merci !
Heureuse pour vous. Faite la couler en vous – cette image – le plus longtemps possible.