L’existence est si triste
Et ma conscience si morte
Quand j’attends la Mort devant sa porte
Elle me laisse seul, sans piste
Le froid à atteint mon coeur
Et je m’essouffle à respirer
Dans mes plus profonds regrets
Je me noie par malheur
Les saisons s’écoulant à flots
Le temps ne se rattrape pas
Et à chacun de mes pats
Il s’empare petit à petit de mon cerveau
Mais aujourd’hui est un jour de paix
Je te chasse de mes idées
En te renvoyant dans le passé
Tel une colombe je m’en vais
Très beau