Ode au temps
Penser pouvoir enfin contempler les bourgeons,
Regarder les tulipes et les primevères.
Il est,hélas, impossible de sortir.
Ne plus pouvoir regarder le soleil.
Temps, toi qui sembles éternel
Et imperturbable, tu continues ta vie,
Moqueur et insouciant de nous, pauvres humains
Pourrais-tu te suspendre, que nous soyons libres
Saurais-tu te pencher sur nos problèmes ?
Ebrithil
Regardez la première lettre de chaque phrase…
😉
Et de deux pour le concours !