Rose

11 mins

J’ai tout de suite trouvé que mes nouveaux voisins représentaient la famille parfaite, enfin parfaite jusqu’à ce jour de juin…

D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours vécut dans ma maison, j’y suis née, je m’y suis mariée et j’ai eu 3 beaux enfants qui sont partis vivre leurs vies bien loin des frontières de notre pays. J’étais veuve depuis 10 ans quand le terrain à côté du mien a vu arrivé les grues et autres engins de construction. Une vieille maison y était construite et il fallait la démolir, cela me faisait bizarre car je connaissais bien les anciens propriétaires, ils avaient disparus du jour au lendemain sans donner de nouvelles, un matin alors que je faisais le tour de mon jardin j’avais remarqué que les volets étaient fermés et leur chien un caniche noir nommé Obsy grattait à la porte sans trouver de réponse. Je l’avais donc adopté, une présence animale c’était toujours rassurant quand on est une vieille femme qui vit seule. La démolition avait commencé depuis une semaine quand un ouvrier poussa un cri à vous glacer le sang. Le chef des travaux ferma le chantier, des barricades furent installées et un agent de sécurité avec un berger allemand fut placé là pour éviter toutes intrusions.

Parfois la nuit quand je n’arrivais pas à dormir je sortais sur ma terrasse pour m’asseoir dans mon rocking-chair et une nuit je fus témoin d’un drôle de spectacle dans le jardin voisin. Des hommes en combinaisons blanches faisaient des allés et venus entre le terrain et leurs camionnettes garées dans la rue. Équipés d’une lampe frontale le balais des lumières ne s’arrêtaient pas. Je me faisais toute petite pour ne pas être repérée, ma vue vieillissante me jouerait-elle des tours? Je ne pouvais pas aller chercher mes lunettes sans me faire remarquer et surtout faire aboyer mon nouveau compagnon à quatre pattes.
Plusieurs caisses furent étiquetées et rangées dans un camion et d’un coup plus rien, le silence dans la nuit noire.

Inutile de vous dire que cette nuit là je ne pût me rendormir. Au petit matin les travaux reprirent bon train, la maison enfin se qu’il en restait fut détruite en a rien de temps et les gravats évacués dans la foulée. Chaque jour de nouveaux matériaux arrivaient sur le terrain et tel un immense jeu de construction la maison prit forme. Il faut dire que ces nouvelles maisons montées en kit c’est impressionnant, on se lève en voyant la dalle et on se couche le toit est déjà posé.

Après trois mois de travaux la maison était prête à recevoir ses nouveaux occupants. Un week-end un énorme camion de déménagement se stationna dans la rue. Une bande de copains s’affaira a sortir les cartons, les éclats de rires étaient nombreux et je ne parvenaient pas à savoir qui allait être mes nouveaux voisins. Après une journée bien remplie pour les nouveaux propriétaires il était temps de remercier leurs amis et se mettre au lit. Le calme était de retour dans cette petite rue pavillonnaire et Obsy dormait déjà sur mon oreiller.

Le lendemain alors que je faisais mon tour quotidien de jardin j’entendis une petite voix provenant de la maison, je ne pu m’empêcher de jeter un œil car elle me rappelait ma fille quand elle avait 7 ans. La petite voulait sortir dans le jardin pour aller voir si elle retrouvait son ballon. Malgré ma mauvaise audition je l’entendais parler toute seule et compter le nombre de pâquerettes qui était sur son chemin. Elle s’approcha de la clôture et m’aperçut, d’abord timide elle reculait, je me présentait et lui demandais son prénom, ce petit ange s’appelait Éline, elle me récitait son curriculum vitae un peu dans le désordre mais je compris qu’elle entrait au CE1 et qu’elle adorait l’école. Je lui présentait Obsy je voyais ses yeux qui pétillaient à l’idée de pouvoir jouer avec mon ami mais une sorte de crainte l’empêcha de passer sa petite main au travers du grillage.
Ses parents la rejoignaient et je pu enfin faire la connaissance de la charmante famille qui allait je l’espère rester un moment dans le quartier. Je leurs faisait un petit historique de la rue, les différentes manies des voisins, nous étions tous plutôt âgés et du sang neuf était une aubaine. Je me gardais bien de raconter l’épisode de la destruction, a peine arrivés je ne voulais pas les faire fuir.

Je fis donc la connaissance de Marc le papa, informaticien et d’après les dires de sa femme c’était aussi un bricoleur hors paire. Julie elle était coiffeuse à domicile elle passait beaucoup de temps sur les routes pour satisfaire ses clientes. La petite Eline était un rayon de soleil, son rire était communicatif, pleine de vie elle adorait l’école et aussi les poney. Notre conversation prit fin car l’emploi du temps de la petite famille était serré, Julie devait commencer sa tournée de mises en plis et Marc devait emmener sa fille à son cours d’équitation. Je leurs proposait de venir prendre l’apéritif dimanche midi pour faire plus ample connaissance.

Je passais donc ma journée en cuisine pour préparer quelques bouchées apéritives, ça faisait une éternité que je n’avais pas autant cuisiné. Obsy observait mes allés et venus en soupirant car je devait sûrement faire trop de bruit et troubler sa sieste quotidienne.
Le lendemain une petite main frappait à ma porte à midi pile, je faisais entrer mes invités, je remarquait tout de suite le regard de la petite Eline en apercevant ma bibliothèque, elle se dirigeait directement vers ma collection ancienne dorée à chaud de contes anciens. Elle se retournait vers moi frétillante d’impatience et me demandait si elle pouvait en feuilleter quelques pages, Julie et Marc étaient un peu gênés et tentaient de dissuader la petite mais elle avait un sacré caractère et savait déjà ce qu’elle voulait. Je finissais donc par céder à une condition c’est moi qui choisissait le livre.

L’apéritif se passait à merveille, Obsy dormait paisiblement à côté de Éline qui lisait avidement des contes nordiques, nous les adultes pouvions donc converser sans être interrompus car je me souviens qu’avec trois enfants les dîners entre amis étaient toujours décousus en terme de conversation. J’en profitait donc pour en apprendre plus sur les nouveaux arrivants. Marc était programmeur, je n’ai pas tout compris à son poste mais ça avait l’air bien compliqué, il aimait aussi tout réparer, son épouse levait les yeux au ciel en suppliant qu’il jette tous les bouts de bois et autres objets qui encombraient leur garage. Julie quand à elle me parlait de son projet capillaire, elle voulait faire des concours, je lui demandais sa carte pour lui faire de la publicité auprès de mes connaissances, c’est bien connus les petites mamies sont des habituées du casque chauffant, elle ne tarderait pas à se faire une clientèle fidèle dans le quartier. Eline quand à elle était une petite enfin une grande fille passionnée de  lecture, dès son réveil son premier reflex était de prendre un livre et de passer des heures à se raconter ses histoires, elle avait une imagination débordante, elle aimait aussi beaucoup les fleurs et les arbres. Elle fût amusée que mon prénom soit le même qu’une fleur, mon père passionnée de jardinage voulait m’appeler Capucine mais ma mère avait eu le dernier mot et avait préféré un prénom plus court et surtout le nom de ses fleurs préférées, Rose. Il était déjà temps de se dire au revoir je promis à ma petite voisine de lui montrer quelques ouvrages anciens sur la botanique, ses yeux pétillaient d’envie.

La semaine suivante le rythme de vie de la gentille famille avait changé, c’était la rentrée des classes et chacun avait un planning calé à la seconde près. Le matin la maison se réveillait à 6h30, j’étais déjà debout depuis une heure, et oui les personnes âgées dorment beaucoup moins en vieillissant, du coup j’avais le temps d’observer leur petit manège quotidien. A sept heure trente tout le monde dehors chacun dans sa voiture c’est maman qui déposait la petite écolière. La journée était plutôt calme dans le quartier on était plus tous jeunes, l’après-midi c’était sieste après déjeuner, une a deux fois par semaine je recevais quelques amies et pour m’amuser je faisais quelques tirages de tarots a mes voisines. A dix-sept heures j’entendais le petit rire cristallin de ma petite voisine, elle rentrait avec une jeune fille, sa nounou jusqu’au retour tardif de ses parents. Elle me fit un signe de la main et disparaissait dans sa maison. Un soir alors que j’étais dans mon jardin pour ramasser quelques feuilles mortes j’entendis une violente dispute entre Eline et sa baby sitter, je tendais l’oreille pour connaitre le sujet de la discorde, d’après les brides de phrases que j’ai pu entendre il était question d’un shampoing qui se serait mal passé, plutôt un rinçage de cheveux un peu trop tonique au goût de la demoiselle. Un autre soir c’était le choix du pyjama qui avait posé problème et le pompon fut que la jeune garde ne s’intéressait que peu a la littérature de la petite princesse. Ce fût le dernier soir où j’ai vu la nounou, le lendemain aucunes nouvelles, elle n’était pas venue récupérer la petite à l’école. Julie et Marc étaient d’abord contrariés puis inquiets, il fallait trouver une remplaçante. Les mois passaient et les candidates défilaient, elles finissaient toutes par disparaître du jour au lendemain sans  donner de nouvelles, étrange, mais que se passait-il dans cette famille ?

Un lundi alors que Eline était à l’école et que Julie ne travaillait pas elle vient sonner à ma porte. Une tasse de thé plus tard je connaissais en détail le sujet de son inquiétude, voyant qu’aucunes des nounous ne restaient, pire elles ne donnaient plus signe de vie, la jeune maman commençaient a se poser des questions sur un éventuel mauvais karma voir une malédiction jeté sur elle et sa famille. Elle vit le jeu de tarot sur ma table basse et timidement me demandais si je pouvais lui faire un tirage, elle me précisait qu’elle n’y croyait qu’a moitié mais bon « on ne sait jamais » les réponses sont peut-être ailleurs. Amusée par sa réflexion j’installais mon tapis en velours brodé d’étoiles, mélangeait le jeu et lui fit choisir quatre cartes. J’hésitais a lui dire la vérité au vue des arcanes choisies, le tirage indiquait la présence de forces obscures très proches d’elle, le chaos et la fin d’une période. Trouvant le jeu un peu trop anxiogène je préférais une version édulcorée. Je lui expliquait donc qu’elle passait une période de turbulences mais que la lumière était au bout du tunnel. A la fin du tirage je lui proposait de la dépanner en prenant Eline chez moi après l’école le temps de trouver un autre mode de garde. Regonflée a bloc elle me serra dans ses bras avant de rentrer chez elle le cœur plus léger.

Le lendemain je me retrouvais devant l’école a attendre ma petite voisine, que de souvenirs cette école, ses cris d’enfants dans la cours et surtout ses mamans dans des tenues improbables avec des couleurs de cheveux tout aussi originales, je me dis que Julie devrait venir proposer ses services ce ne serait pas du luxe. La cloche sonnait et un flot d’enfants sortie de l’école en hurlant et poussant tout se qui se trouvait sur leur chemin, Attila était un petit joueur a coté d’eux. Eline arrivait sautillante et pleine de vie comme d’habitude. Nous n’étions pas loin de l’école et elle n’arrêta pas de parler, pendant tout le trajet j’eu le droit a un condensé de toutes ses aventures de la journée toujours de façon décousue et surtout avec une succession de prénoms de personnes que je devais d’après elle connaître mais en réalité je n’en connaissais aucunes. Après avoir prit son gouter et fait ses devoirs la petite curieuse voulut de nouveau prendre un livre de ma bibliothèque, j’étais dans la cuisine et n’ayant pas le temps d’arriver pour choisir l’ouvrage elle avait sur les genoux un album. Elle semblait fasciné par les vieilles photos qu’il contenait. Elle leva la tête et me demandait qui étaient ces gens. Avant que je puisse ouvrir la bouche on frappa a la porte, c’était Marc qui venait la chercher. Alors que nous échangions des civilités un bruit sinistre se fit entendre, ça provenait de ma cave, je ne réagissait pas tout de suite étant habituée a ma vieille maison, ses bruits faisait partis de mon quotidien. Mon voisin lui tendit l’oreille et comme un chien de chasse a l’affut il me demandait si il pouvait descendre voir. Un peu gênée car je savais qu’il y avait un peu de bazar en bas, je déclinais sa proposition prétextant que c’était habituel, il n’en tenait pas compte et descendait déjà a la cave. Après cinq minutes il remonta un large sourire au lèvres se frottant les mains, il avait détecté un problème au niveau de la chaudière et se proposait de passer le samedi suivant. Je finissais par céder, j’allais devoir faire un sacré ménage pour que tout soit nickel samedi.

Il était pile poil neuf heure quand je trouvais mon jeune voisin sur mon paillasson sa trousse a outils dans la main. Je descendais avec lui au sous-sol, il sortit ses outils et une vis roula par terre et alla se cacher sous une armoire normande. Marc s’allongea par terre pour la récupérer et au moment de se relever poussa un cri, la porte de l’armoire était entrouverte et il avait crut apercevoir des yeux qui l’observaient. Un peu gênée d’abord je m’approchais de l’armoire et ouvrit en grand, ma collection de poupées en porcelaine était là bien alignée sur les étagères. Soulagé Marc reprit son ouvrage en rigolant de lui même d’avoir eu peur d’une poupée. Après une matinée de labeur ma chaudière était comme neuve, plus un bruit. Je remontais l’escalier de la cave et là sans y faire attention je marchais sur un clou qui dépassait et manquait de tomber, heureusement mon sauveur était derrière moi et me rattrapa, a la vue du sang je tournais de l’oeil et perdit connaissance. Je me réveillais a l’hôpital, le pied bandé. Une petite main dans la mienne, c’était Eline qui attendait mon réveil en bouquinant, je mis quelques minutes a me rendre compte que c’était un de mes livres anciens, la petite lectrice leva les yeux vers moi et vu que j’étais contrariée, pour se justifier elle m’expliquait qu’elle était passée nourrir Obsy et le sortir et qu’en repartant ce livre qui était sur mon buffet avait attiré son attention, elle était confuse et me dit que de toutes façons elle n’avait rien compris car le texte était illisible car elle ne reconnaissait pas les lettres. J’étais en colère, après la petite voleuse mais surtout après moi comment avais-je pu être aussi distraite.

L’après-midi même je rentrais chez moi, il me fallait du repos et la petite famille était au petit soins pour moi. Nous étions au mois de juin et le jardin commençait a fleurir de partout, Marc se proposait donc pour m’aider a tondre la pelouse et tailler mes haies, Julie elle cuisinerait pour m’éviter de trop me fatiguer. La petite se chargeait de sortir Obsy et de le nourrir. J’avais prévenus mes amies de mon état de santé et leurs avait demandé de moins passer a l’improviste car je n’était plus trop souvent seule.
Un jour alors que Marc jardinait il arrivait affolé ma pelle a la main, il y avait des taches de sang dessus. Je le rassurait en expliquant que j’avais du tuer quelques taupes qui défiguraient mon jardin. Il parut sceptique en entendant mon histoire et repartit jardiner tout en se parlant a lui même. Julie quand a elle s’était mise en tête de me préparer mes repas dans ma cuisine, elle cherchait des épices pour mettre dans son curry, elle examinait mes bocaux avec beaucoup d’intérêt quand soudain elle en lâchait un par terre, il se brisait en milles morceaux, j’arrivais péniblement dans la cuisine, elle était a quatre pattes pour ramasser les bouts de verres en s’excusant, elle n’osait pas croiser mon regard, a première vue elle était tombée sur mes pattes de corbeaux, oui je sais c’est pas très traditionnel mais çà relève le goût de certains plats en sauce.
Les jours suivants mes voisins trouvèrent des excuses pour ne plus venir me voir je ne comprenais pas trop ce malaise soudain. Les mauvaises herbes commençaient a envahir mon terrain et des plats dans des boites en plastiques étaient déposées sur mon paillasson le matin et le soir.
Quand j’apercevais le jeune couple dans leur jardin, ils me saluaient rapidement et rentrait précipitamment  avec leur fille.

Un jour Eline était seule sur sa terrasse j’en profitais pour lui parler, je lui proposait de venir chez moi pour boire un chocolat chaud. La petite fille gourmande hésitait mais finit par céder a l’appel de la gourmandise. Elle prit la tasse fumante entre ses petites mains et me racontait pourquoi ses parents étaient si distants. Après l’épisode de la pelle et de la patte de corbeau, le couple en avait discuter au diner et trouvait bizarre qu’une vieille femme comme moi tue des pauvres taupes, une idée venait a germer dans leurs têtes, peut-être étais-je une sorciere ? A ce mot la petite Eline frissonna. J’éclatais de rire et rassurais la petite en lui expliquant que les sorcières elles ont un grand chapeau, un balai et une verrue sur le nez. Une fois convaincue la petite me demanda une fois de plus de lire un de mes libres « bizarres », j’acceptais, elle allait s’installer dans le fauteuil près de la bibliothèque, elle eu a peine le temps de lire la première page qu’elle s’endormait déjà.

Ce soir là le 21 juin précisément, on tapait à ma porte, Marc et Julie très inquiets voulait savoir où était leur fille, elle avait disparut. Je les laissaient entrer chez moi, ils inspectèrent toutes les pièces de ma maison sans rien trouver. Je leurs proposait mon aide pour rechercher la petite fugueuse. On me remerciait et me demandait de prévenir si j’avais des nouvelles. Je refermais la porte et me dirigeait vers la cave, une fois en bas j’ouvrais mon armoire et plaçait une nouvelle poupée sur l’étagère tout en haut ses beaux yeux bleus semblaient un peu tristes, dans sa main un livre doré. Je refermais doucement la porte en vérifiant qu’il restait assez de place pour les deux prochaines poupées que j’allais rajouter a ma collection. Une douce odeur de cuisine me chatouilla le nez, je remontait devant mes fourneaux, mon plat était prêt, mes amies sonnaient déjà à la porte. La dégustation fut parfaite, la viande était si tendre un vrai régal, carton plein auprès de mes convives, on me fit remarquer que mon plat avait un petit goût de chocolat qui relevait le goût. Si ça vous intéresse je vous donnerais la recette.

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9 Commentaires
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Mathieu Jaye
4 années il y a

Bienvenue sur la plate-forme !
Je vous lirai avec plaisir.

doc no
4 années il y a

C cool… Envie de savoir la suite.

Robert-Henri D.
4 années il y a

Bonjour Eloïse,

J’ai lu votre texte mais j’ai été quelque peu perturbé par le nombre de fautes, et autres erreurs qu’il recèle (+ de 50 rien que pour l’orthographe & grammaire).

Bon, en soi, ça n’est pas incontournable puisqu’il vous suffira de passer par bon correcteur qui vous en soulignera l’essentiel.

Allez: bon courage! Et surtout persévérez, car vous me semblez avoir de belles idées.

Robert-Henri D.
4 années il y a

Hello, bravo pour votre réaction positive!

Et surtout ne vous excusez pas! Je voulais juste souligner le fait que le lecteur ou la lectrice lambda qui comme moi ne font pas usage de la "lecture en diagonale" risquent de zapper le fond en raison de la forme… Ce qui serait dommageable (sans omettre qu’un éditeur potentiel risque de rejeter tout en bloc dès l’instant où il va trouver un maximum de trois fautes/page).

Bien amicalement

Tumbe Konate
4 années il y a

Du suspense, j’ai rien vu venir. J’aime votre plume, magnifique.

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