Ma collection SORCIERELLA et son personnage principal IRIS est mon premier roman, celui que j’aimerais publier. Celui que j’aimerais créer pour les autres.
L’écrire est différent de ce que j’ai fait jusqu’à présent. Je n’avais écris que des articles auto-centrés, ce qui avais pour effet de m’aider à approfondir certaines pensées. J’ai aussi écris de petits podcasts de relaxation. J’ai affirmé mon univers en mon intérieur sans trop me soucier de ce que mes potentiels lecteurs pourraient y trouver.
Aussi, un jour un copain lis l’une de mes folles créations. Je délirais à l’époque sur l’astrologie sacrée, les anges, les plantes. Je me barbouille des traits de la mystique, je prétend à la sorcellerie, je psalmodie des incantations. Dans le décor en carton pâte de ma créativité, je me pare d’attributs surréalistes, ce que ce copain (amateur de théâtre) apprécie particulièrement. Pour son plaisir, j’ai même participé à un des ateliers de son club, étrangement, je me suis retrouvée dans la peau d’une médium, à mener un cercle de channeling. Suite à cela, ce même copain m’invite à un atelier d’écriture et c’est alors que j’ai réalisé : Écrire est une activité passionnante rassemblant des gens forts intéressants.
Écrire pour un publique, voici donc mon nouveau défi.
Le travail d’un écrivain est solitaire et sensible. Il projette hors de lui tout un univers et le raconte, ligne après ligne, comme un conteur de légendes. Parler, penser, est naturel : cela ne me permet pas d’espérer un livre qui “raconte quelque chose”, sauf si c’est mon moi qui se la raconte, comme au temps de mes blogs.
Ainsi, je suis devenue “écrivaine”, en formation. J’ai ouvert mon propre club d’écriture et une première collection “SORCIERELLA”.
Premier chapitre de IRIS : Le cygne 47.