Je suis fatigué,
et je suis épuisé,
tous ces jours ou j’ai essayé,
tous ces jours que j’ai compté,
le nombre de fois que j’ai voulu tomber,
‘le nombre de fois ou elle m’a manqué.
J’errais seule dans la sombre nuit,
À la recherche d’un appuie,
À la recherche du bonheur,
mais j’ai trouvé que du malheur,
que je ne saurais oublier
quand t’apparus sur mon sentier
ta beauté infinie
ton regard, qui porte la vie
tu me portais dans ta lumière,
de ta main essuyant mes larmes,
tu me parlais de tes doutes,
et tu me pris à toi sans retour.
Tu saisis ma main tremblante,
parlant d’une vois consolante,
tu me parlais de ton amour,
À chaque heure du jour.
Inconnue n’es tu pas pour moi ?
La lumière qui m’éclaire,
l’eau qui me désaltère,
le bonheur de mon être,
l’amour qui me sourit,
la clé de tous mes soucis,
le rayon qui me rassure,
la baume qui guérisse mes blessures.
N’es tu pas pour moi celle que je cherchais ?