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J’ai une grosse carapace, il m’en faut bien plus pour être touchée d’une façon ou d’une autre. Et j’apprécie un peu de franchise. En soi je comprend le fait que les fautes exaspèrent, quand je lis, même si je ne suis pas exampte de faire des fautes moi-même, j’ai du mal à en faire abstraction. Et j’ai aussi des difficultés à m’imprégner d’un récit trop bancal. Peut-être que cette façon brusque de le dire et brusque mais peut-être est-ce aussi une façon de faire réagir. Choquer pour mieux impacter ? Je prend le rôle de l’avocat du diable, je l’admet, mais voyons les deux côtés de la pièce avec neutralité.
@Frenchwine#4504 J’ai remarqué quand j’ai lu votre message et que j’ai essayé à mon tour. C’est étrange parce qu’après avoir posté le lien, je l’avais essayé et il fonctionnait. Peut-être a-t-til un temps de validité ? Ou alors j’ai apporté des modification au texte et cela à générer un nouveau lien qui a supprimé l’ancien ? Les mystères du net…Il faut savoir vivre avec son temps. Et n’y voyons pas que des inconvénients ! Sans cela il évident que très peu de gens tenterez d’écrire ne serait-ce que deux lignes un peu poétiques ou dramatiques. Là où Shakespeare était reservé à une certaine populace, nombreux aujourd’hui sont les écrits accessibles à tous. Et bien que tous ne les lisent pas, cet engouement disponible donne des rêves à d’autres, un peu timides mais réconfortants. La littérature n’est pas que de pièces montées, elle est aussi Bit-lit et Fantasy, Erotique et Aventure, contemporaine et moderne…
Les goûts et les couleurs ne peuvent se juger, les besoins des individus non plus. Il faudrait plutôt se demander l’interêt de lire _50 nuances de Grey_ et ce qu’il apporte au lecteur à défaut de Hamlet. Dans une société où sont promus l’individualisme et le self-made man, la solitude règne ainsi que le manque d’affection. Mais peut-être s’agit-il aussi tout simplement d’un plaisir plus assumé, d’une redécouverte du corps et de ses limites qui étaient auparavant quelque peu tabous…
A méditer sans juger.Ca passe encore, mon sens inné du sadisme aurait été plus loin et n’aurait pas laissé le jeu au hasard. Je crois par ailleurs que ça se ressent dans bien de mes écrits, quel bonheur de pouvoir imaginer les personnes tant aimées se tordre sous ma plume. A essayer, c’est un conseil thérapeutique que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Sauf peut-être chez Hannibal Lecter.
@Marie_lune33#4441 Je n’ai pas l’autorisation d’inclure ou non des personnes dans la conversation
