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–Atchouuuuum …
Ma moustache vibre mais pas de sursautage, je suis habitué à ce bruit suspect depuis tôt ce jour …
–Aaaaatchoummm …
le regard rivé à la griffe terrible, là, face à moi, je me couche à demi et rampe sur l’herbe fraîche.
Partout c’est la fuite éperdue … mulots, souriceaux et volatiles de toutes plumes … là des lièvres, toute la famille, et là deux gros rats … La terreur de leurs regards me cache même à leurs yeux …–Atchoooooum …
Le bruit s’estompe … le groupe de perdrix me frôle de leurs ailes affolées et disparaît derrière moi.
Je redresse la tête au bruit de retour, la griffe terrible arrive vers moi, me regarde de ses yeux de lumière froide et mortelle … je sursaute et repars à toute vitesse derrière les plumeux affolés.–Atchoum !
Je retrouve le bruit explosif et le foyer mais … tout est clos !
Elle a osé me laisser dehors avec la griffe ?
Je saute sur le carreau, je crie et le frappe de mes petites griffes à moi … Miaouuuu …–Poussy ! Te voilà !
Je t’avais dit qu’il fallait rester ici, j’aurai pu te perdre, tu aurais pu te faire tuer là-bas, avec toutes ces pauvres petites bêtes, sous les griffes terribles du fermier … Atchouuum … qui coupe l’herbe du champs …
Maudit rhume des foiaaatchoum !
Aie ! Qu’arrive t-il donc ?
Pourquoi ce doigt ? Pourquoi cette douleur ?
Comment cela peut-il arriver que ce doigt rencontre tout à coup ce vide, ce néant quand je tente de finir mon texte ?Un trou anormal à mon clavier, je ne peux taper cette touche … je peux le « z » et je peux le « x » pourtant entre eux je ne rencontre que le vide …
Comment faire ? Ce trou occupe pourtant tant de place, tellement frapper, avec tant de hargne en fin de mot …
Je m’imagine tel ce joueur de clarinette qui en a perdu le « do », cette douleur de devoir écrire avec ce vide me perturbe et me freine en mon élan créatif.
Oublier le pluriel, oublier de me conjuguer, oublier tant de …Et voilà … j’en oublie ma tirade, je ne place que mon mal quand ce mal devrait être pluriel … « maux » je le peux, pourtant je ne peux le mettre mien …
La folie me guette, on croyait qu’écrire en ôtant ce « a » pourrait nous gêner pourtant bouger de mon clavier cette nouvelle lettre devient pire encore …Où donc va finir cette folle folie modératrice ?
Aie ! Qu’arrive t-il donc ?
Pourquoi ce doigt ? Pourquoi cette douleur ?
Comment cela peut-il arriver que ce doigt rencontre tout à coup ce vide, ce néant quand je tente de finir mon texte ?Un trou anormal à mon clavier, je ne peux taper cette touche … je peux le « z » et je peux le « x » pourtant entre eux je ne rencontre que le vide …
Comment faire ? Ce trou occupe pourtant tant de place, tellement frapper, avec tant de hargne en fin de mot …
Je m’imagine tel ce joueur de clarinette qui en a perdu le « do », cette douleur de devoir écrire avec ce vide me perturbe et me freine en mon élan créatif.
Oublier le pluriel, oublier de me conjuguer, oublier tant de …Et voilà … j’en oublie ma tirade, je ne place que mon mal quand ce mal devrait être pluriel … « maux » je le peux, pourtant je ne peux le mettre mien …
La folie me guette, on croyait qu’écrire en ôtant ce « a » pourrait nous gêner pourtant bouger de mon clavier cette nouvelle lettre devient pire encore …Où donc va finir cette folle folie modératrice ?
Ce mat hein me levant de bonne heure jean fourche mon cycle eau motte heure pour me rendre à la boule ange riz cher chez mes croix cents du math ain.
La jeune fille me raie pond : ma dame nous n’avons plus que des choco latte tine …Or riz fiez je met crie : Non pas de choco latte tine moi je veux des pains au choco la !
Et je ment fui en cours an …
