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ccccccccccccc bbbbbbbParticipant
Bérénice (Racine)
Abélard et Héloïse
Tom Sawyer (Twain)
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Agrippine (Brétécher)
Ubu Roi (Jarry)ccccccccccccc bbbbbbbParticipantOuh là là, je te crois sur parole. C’est une marque de frigidaire?🤓
ccccccccccccc bbbbbbbParticipantMerci Helena, reste plus qu’à mettre une branlée aux sorcières.🤓
ccccccccccccc bbbbbbbParticipantNation apaisée.
Z’ai perdu toutes mes dents.
Dans les prairies les lapins forniquent.
Nique la Police.
Lycée d’enfer, pas de distributeur de Coca.
Cocaïne mon frère, et de la bonne.
Bonne cuite n’est pas mortelle.
Tels sont les mots de notre Seigneur.ccccccccccccc bbbbbbbParticipantTentative réussie, le jury vous décerne les palmes académiques.
Trop content que tu nous rejoignent chère Helena.😜ccccccccccccc bbbbbbbParticipantMarion ne savait plus où elle se trouvait, au fond du lac, ou dans une grotte?
Elle n’était pas vraiment inquiète pour sa mère, les furies ne faisaient pas le poids.
Des épreuves l’attendaient, elle devait se concentrer et s’armer de courage, personne ne pouvait lui venir en aide.
“Marion, tu n’es qu’une petite sotte, élevée dans la fange avec les cochons. Une souillon même pas digne des gueux qui t’ont hébergée.
Ils t’ont laissée partager les épluchures avec tes semblables, ne sachant trop quoi faire de toi. Pour eux, tu ne servais à rien, pas assez en chair pour un bon repas.
Ton baron a trouvé sa belle, peut-on comparer une truie et une Déesse?
Tes petits pouvoirs n’y changeront rien. Abandonne tes prétentions et retourne à la porcherie.”
Marion entendait cette voix, ou ces voix comme un chœur d’épouvante.
Elle ne devait pas flancher. Ces voix réveillaient de tristes souvenirs.
Alors elle vit tous ces braves paysans, leurs rires, leur tendresse. Non, ils ne l’avaient pas laissée dans la fange, ils crevaient de misère mais auraient fait n’importe quoi pour elle.
Ces sorcières de pacotille s’étaient trompées de cible.
Elle était fille de Roi et fille du peuple.
Cette pensée lui donna le courage et même le sourire.
Oui, elle pouvait être fier, elle avait affronté tant d’épreuve pour gagner le cœur de son amant.
Loin de pousser un cri de colère, elle éclata de rire. C’était pour elle comme une révélation, une renaissance.
Elle savait à présent que toutes ces vieilles édentées ne pouvaient plus l’atteindre. -
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