On a perdu le livre
à suivre les chapitres
le temps de nos temps-libres
au lieu de nos pupitres
il nous reste des vitres
on suit la vie de pitres
Quand on veut appeler
tout est instantané
le temps que l’on perdait
faisait que l’on rêvait
avant quand ça sonnait
on pouvait raconter
Quand on écrit une lettre
on ouvre la fenêtre
pas besoin d’internet
le temps d’une navette
on faisait la causette
on tenait la buvette
Les poubelles du net
te rendent analphabète
on se prend en vedette
dans cette bibliothèque
on tapes la causette
avec cette oreillette
A force de racler
les poubelle toilées
même le dernier des niais
croit qu’il a des idées
personne ne le connait
mais il est amplifié.
J’ai perdu l’harmonie
de tous mes favoris
mais je reste poli
des nouvelles alchimies
moi aussi j’ai dormi
croyant une embellie.
je me suis relu, ça virait au règlement de compte ^^ j’en ai effacé une grosse partie, je vais refaire plus tard… aujourd’hui peut-être, ou alors demain … ^^
C’est drôle et tragique à la fois mais c’est ce qui est, et dit d’une belle tournure !
en couverture ^^ photo d’une partie de mon coin lecture avec les presse livres ^^ l’esprit et le corps assoiffés ^^ merci d’avoir lu mes divagations ^^ toute publicité pour une marque de boisson ou un livre quelconque, n’est que le fruit du hasard ce jour là ^^