Tes mots me manquent, tes mains me hantent, la douceur de ton cou. Envie de te lire, de te sourire, de fermer les yeux et de faire glisser ma bouche sur ta nuque. Après le pourquoi, est venu le pourquoi pas, puis l’envie, la liberté, l’étreinte éphémère. Est-ce réaliste de vouloir quelque chose de doux, de beau, qui n’appartient qu’à nous, quelque chose de simple, d’honnête, de vrai alors que nous ne serons jamais rien? Nos réalités ne pourront jamais se mêler mais j’espère te lire de temps à autre et peut-être que nos regards se croiseront à nouveau, un jour, par hasard.
éphémère
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