Madame la fiction croyait être la vice présidente d’une grande firme internationale, et possédant voiture de luxe tel que Mercedes dernier cri ou plutôt la Tesla, un yacht personnel pour ses vacances, aussi un jet privé pour ses déplacements professionnel, sans compte sa villa avec ses deux piscine.
La voilà se promenant un jour banal dans les rues voisine de son quartier, étant vêtu de manière tout à la fois chic et décontracté et se fait éclabousser de boues par un vieil véhicule. Vexé par la salissure sur ses vêtements, elle se mit directement à engueuler le chauffeur tout en haussant. Ce dernier sorti de son véhicule pour venir s’excuser auprès de la dame, mais cette dernière ne voulais pas du tout comprendre les explications de l’automobile et se mit à l’engueuler de plus fort. Quelques passants s’arrêtèrent pour observer la scène. Les plus courageux s’avancerent de plus près et essayait d’apaiser qui ne voulait rien entendre, prétendants que ses vêtements coûtaient une fortune et qu’un simple lavement se suffirait pas pour effacer tous les tâches causer par la boue. Elle exigeait une amende.
Finalement monsieur la réalité céda, car ce incident l’avait causer beaucoup de retard. Il proposa donc à la dame de se retrouver dans un bureau dédié pour se genre de situation pour réglé son amende, mais elle devait être là en personne. Dame la réalité accepta et fixa une date à laquelle elle pouvait être disponible. C’est à dire dans deux mois. Accord conclus chacun repris sa route.
Voilà donc la fiction le jour- j se vêti de vêtements hors de pris, pris un jour de congé et ayant rassemblé trois amis à sa cause, pris la route dans sa Ferrari pour le dite lieu de rendez-vous. Elle et ses amis patienterent un moment au couloir, puis un homme le fit entre dans une grande salle. Elles étaient plutôt surprises de la déco et du protocole mis en place pour les gérer, elles murmurer entre entre elles l’air satisfait pensant bien que tous ses honneurs et tous ses attentions étaient adressé à madame la fiction, qui en peu de temps, était quitté de la basse classe à la gloire, et ça elle ne manquait jamais un instant pour le montrer et qu’on lui témoigne des louanges et de l’admiration. Ses trois amis, des vrais renards, étaient accroché à son bec comme un chien est accroché à ses os.
Bref, elle n’arrêtait pas de dandiner de voir tant d’honneur, mais personne ne fit mot. Elle exiga même là bas d’avoir des boissons de haute qualité et refusa l’eau qu’on l’offri, ses amis en fit. Leur souhait fit exécuter sans ménagement.
Madame la fiction discutait avec ses amis tout en sirotant les boissons qu’on les avaient offert lorsqu’un homme plutôt très élégamment habillé entra dans la salle et leurs demanda de se lever, car l’accusé monsieur la réalité était arrivé, enfin de payer son amende. Dame la fiction fit surpris de cet ordre, mais on les fis savoir que c’était le protocole. Elle s’exécuta donc ainsi que les autres, alors la réalité entra dans la salle vêtu d’un simple costume, mais qui avait l’air de coûté une fortune. Il s’avança et salua la fiction ainsi que ses amis, son cortège qui était avec lui fit de même. Dame la fiction était étonné et ne comprenais rien. Mais les événements se déroulerent très rapidement.
Monsieur la réalité signa, la dame aussi et le monsieur chargé du protocole lui remis le chèque d’une énorme somme d’argent , bien au delà de la valeur des coûts de ses vêtements sali par la boue, pour payer l’amende dit-il à haute voix, de sa majesté le roi de…
Dame la fiction surmené par tant de surprise et se remémorant ses actes ignobles perdit connaissance pendant que monsieur la réalité, ce grand roi modeste bredouillait quelques mots à madame la fiction, tandis que les amis de la fiction, renard de toujours tentaient de nouer le contact avec roi la réalité.
…
Sur son lit d’hôpital, madame la fiction compris avec regret que l’humilité est un titre plus grande que toutes les richesses.