Un soir tu m’as dit :
“mais ça vient d’où ce truc ?
T’as déjà vécu ça ??”
Je t’avais répondu :
” non jamais…jamais vécu ça…
je sais pas d’où ça vient,
mais je suis sûre que ça n’arrive qu’une fois dans une vie”
On parlait de cette intensité entre nous, de cette fusion, de cette puissance, de cette profondeur …
Tellement nouveau pour tous les 2,
41 ans pour moi, 47 pour toi…
inimaginable même… ce truc qui nous traversait entièrement l’un l’autre quand on était ensemble, et plus encore quand nous faisions l’amour.
Ce qui me rend triste aujourd’hui, c’est que tu nous interdis de le vivre alors que c’est encore là 2 ans après, simplement pour pouvoir accéder à un semblant de liberté qui ne t’apportera jamais le quart du tiers…
Ce qui me rend triste aujourd’hui, c’est que ta décision nous laisse au milieu du gué, que notre histoire aura toujours le goût de l’amertume, qu’il y avait quelquechose de beau et de grand (et sans doute mouvementé) à vivre !
On n’aura pas de seconde chance…
Cette tristesse tu la vivras,
Après moi.
Ce jour là tu comprendras,
Il sera trop tard.
Je serai déjà loin…
Je serai en Italie,
Et j’aurai retapé cette maison aux 2 hectares d’oliviers
Agate Hort, je t’adore !
Des espoirs tellement sensuels et bien écrits.
Merci Bernice.
Des espoirs que l’on pourrait écrire en 1 mot, d’ailleurs
J’écris d’un trait, quand j’ai mal. Je ne me relis pas ou très rarement. C’est plus ou moins bon.
Mais je prends avec grand plaisir ton message…