J’ai déjà dis que j’aimais les gens “polyvalents”. Ceux qui s’autorisent à accomplir plusieurs rêves, plusieurs objectifs à avoir plusieurs passions. Qui ne sont pas enfermés dans une case.
Ici l’univers de la saga divergente me rend donc bien service.
Divergente c’est une série de livres écrite par Veronica Roth et qui seront aussi adaptés au cinéma.
Nous avons ici une société ( dans un monde post-apocalyptique ) quelque peu particulière mais intéressante à analyser.
Il existe 5 factions : les audacieux, les érudits, les altruistes, les sincères et les fraternels.
Certains sont sans faction, sans abris et délaissés comme des déchets de la société.
Chaque faction a un rôle particulier en fonction des “qualités dominantes” de chacun.
Les altruistes étant naturellement gentils et désintéressés s’occupent du gouvernement.
Les audacieux étant forts, curieux, aventuriers et courageux s’occupent de la sécurité.
Les érudits inventent et s’occupent de la technologie, de la science.
Les sincères toujours honnêtes font la justices.
Et les fraternels s’occupent par exemple de la nourriture et sont pacifiques et heureux.
Les enfants grandissent puis vers leur 16 ans il y a une cérémonie qui va déterminer quelle faction ils vont rejoindre après des tests et analyses. En général chacun retourne dans la faction de ses parents et si ils changent il y a une coupure avec la famille.
Ici nous suivons Beatrice ou “Tris”, mais problème avec elle, elle est ce que l’on appel “Divergente”. Il n’y a pas chez elle un seul trait dominant mais plusieurs.
Elle est à la fois Altruiste, audacieuse et érudit.
Ce qui est considéré comme un danger.
Les divergents sont en effet traqués et tués.
Pas besoin d’en dire beaucoup plus et je vous invite à lire ou à regarder ces films si cela vous intéresse.
Mais j’aime l’image que cela donne. Elle fait pas mal réfléchir.
Une société rangeant les gens dans des cases en fonction de leur intelligence, leur force, leur courage, leur gentillesse afin d’essayer de garder un pseudo équilibre.
Mais tout le monde ne rentre pas toujours dans la case qu’on veut nous imposer.
Certains rentrent dans plusieurs cases, peuvent faire plus de choses.
D’autres créés leurs propres cases.
Pas toujours simple de ranger un héros dans une boîte.
Il peut faire peur, être incompris, surprendre, innover, inventer, s’opposer.
Mais on a besoin de gens comme ça.
Car si tout le monde acceptait simplement la case que la société ou notre entourage veut nous imposer, sans y réfléchir, sans s’opposer lorsque cela ne convient pas et bien notre monde serait bien moche.
Faut de tout pour faire un monde!
C’est vrai !