Bien sûr que nous devrions nous occuper de tout !
De politique, de social, d’agriculture sûrement aussi, et de poésie nécessairement, comme de philosophie.
Mais l’homme agit aussi beaucoup là où les circonstances de sa vie le placent naturellement. Vous savez, nous sommes un peu prisonnier de cela, malgré nos agitations à vouloir démontrer le contraire parfois. Peut-être devrions-nous plus souvent nous abstenir d’agir à l’endroit où nous ne sommes pas prévu. Qui aurait la folie de s’inviter à un banquet sans y être convié ?
L’agitation remplit les extérieurs, mais laisse désespérément nos intérieurs vide de sens. Il peut être temps de songer à cette fuite de notre temps partout où il n’a rien à y faire !