À genoux, son énorme épée devant lui, Cyraxon remerciais le frère de l’avoir protégé lors de son duel contre le l’hérétique. Plongé dans ses penser, il se remémora son voyage à Altrias et remercia la mère de ce temps de paix qu’il vit comme un présent. Il tenta d’aller encore plus profondément en lui. Seul dans cette espace mentale un mot lui revint « Yaurent ». Il n eu pas le temps d’en comprendre le sens qu’un grincement de porte le sorti de cette trans.
– Cela fait trois heures… Inquisiteur. L’heure parfait pour nous de dormir.
Madeleine venait de rentrer et par chance, il avait déjà manger et bu. Si elle avait vu son visage, Cyraxon aurait du sens débarrasser. À genoux au centre de cette petite chambre, il ne portait que son couvre visage et ses pantalons. Madeleine eu la réflexion qu’il devait être mauvais inquisiteur, de par le nombre de cicatrice qu’il possédait. De plus de celle sur épaule droite avait tout pour impressionner. Très vite elle comprit l’intérêt de ce masque corbeau. Que de honte pour un Elf, race réputée pour la finesse de leur trait, d’être balafré. Effectivement, il était mieux de se nourrir à l’abri des regards, si telle était le cas.
L’inquisiteur se leva. Il avait disposé toute ses armes à ses coter sur son lit. Geste symbole d’une puissante paranoïa. Cyraxon regarda la dame les yeux river sur son corps. Corps qu’il considérais comme étant épargner par ces années de combat mais qui, dans les yeux de cette jeune femme, indiquait le contraire. Il prit soin de demander ce qu’il en était réellement.
– Mon corps a-t-il quelle que chose de particulier.
Elle n’eut comme unique réponse un ossement d’épaule. Elle se mit dos à lui et d’un geste presque séducteur. Cyraxon avais déjà pris position dans son lit. Elle commença à l’interroger comme si son rôle n’était pas déjà assez clair aux yeux de ces paysans. Il ne répondit à aucune de ses interrogations. Ce fut sa dernière question qui attira son attention
– Croyez-vous un jour être vaincu par un sorcier… voir une sorcière qui sais…
Cyraxon tourna le bec en direction du dos dénudé de la femme. Il se surprit à regarder admirer se corp d on la musculature indiquait clairement la dure vie de la campagne. Madeleine se tourna geste qui mit l’homme dans l’embarra.
– Mais maitre inquisiteur avez-vous avaler votre langue.
Cyraxon eu simplement comme réponse.
– Vos question m’ennuis veuillez dormir.
Madeleine comprit que ses charmes firent leur effet. Elle senti les yeux camouflés sous ces vers teinté, roulé sur les courbes de ses seins. Elle prit un malin plaisir à imaginer ce qu’il pouvait penser. Sein nue, elle laissa tomber son pantalon et approchai de l’homme allongé au coter de ces épées. Madeleine se pencha de façon à mettre en évidence ses pointe rosé éclairé à la lueur de la chandelle. Elle souffla presque érotiquement sur cette flamme petite flamme seul source de lumière.
La pièce fut assombrie de se souffle. Madeleine se coucha dans le lit de l’autre côté de la chambre. Elle n’avait plus cas attendre que les chose se passe.
Cyraxon quant à lui se remémora sa promesse faite, il y a des années. La jolie brune n’était pas la première à se dénuder devant lui. Avec un ami comme Deramien, difficile de ne pas en être témoin. Par contre elle était la première à partager une chambre avec l’inquisiteur qu’il est. Certes ce n’était qu’un concours de circonstance. Il tourna le bec vers sa colocataire de fortune.
Par le son qu’elle émettait, il sut que le sommeille avait déjà gagné la femme. Qui pouvais bien elle être en réalité? Sortie de nulle part, marcher cette route et par manque de chance, atterrie dans cette même chambre d’auberge.
Elle semblait si paisible au coter du bloc de glace qu’il représentait. Cyraxon l’observa son visage reposé. Ces cheveux brun clair, jusqu’alors préservé de l’anarchie, c’était rebellé en mèches devant son visage aux trait fin.
Le bec de retour au plafond. Il eut un instant de réflexion. Le meurtre de ce fidèle païen… puis sa rencontre avec elle. Il ne peut y avoir t’en de hasard. Un lien devait subsister. Un dernier regard posé sur le lit d’à coter puis…
Noirceur
…
…
Elle avait bien préparer son plan. Évidement marcher au coter de ce monstre avais nourrie son imaginaire meurtrier. Elle quitta le lit, Madeleine sentait la froideur de la pièce caressée son corps nue. Seule la flamme de sa vengeance la réchauffait, ce qui n’empêcha pas son corps de frissonné.
La sorcière entreprit la fouille de son corsait pour en sortir la dague. Une lame d’on peu d’exemplaire subsistait. Les dragons noirs de Kalimor sont trop rare pour être des proies méritant d’être chassé. Le couteau en main, elle en examina là le tranchant puis sauta sur le corbeau comateux. A cheval sur lui, elle regrettait la trop forte dose qu’elle lui avait mise. Certes la sève de Pocomis se dissout bien dans l’eau. Le stress de se faire prendre avait mis à mal sa capacité de dosage. De plus, il s’agissait du premier Elf quelle droguait. Pour cette raison, Cyraxon était profondément endormit. Dommage elle voulait qu’il sente sa mort, qu’il comprenne son impuissance mourir. Il ne pourra que le rêver.
Elle déposa son index sur le bec de l’inquisiteur. Même inconscient, elle devait lui dire.
– Toi au mon beau… tu as de la chance… une mort comme je te fait cadeau, peu des tiens peuvent prétendre à temps de chance. Tu sais? Tu t’es fait avoir comme une recrue. À croire que vous été ramolli avec le temps. Vous les elfes n été que de vil manipulateur. Nous réussirons. Donc profite de ton dernier souffle… sale monstre.
Elle prit son élan, pointe alignée vers le cœur du charognard. Madeleine porta sa frappe. Sa main fut soudainement stoppée par de long doigt qui saisit son poignait.
– Ne le tue pas!
Elle regarda le grand spectre muni d’une cape grise percé de tous les coté, le visage toujours dans l’ombre.
– Mon oncle… Pourquoi !? Il a tué père. Il nous pourchasse. De plus ses le charognard de … . IL DOIT MOURIR!
Nelyagan face à la colère de sa nièce posa un doigt sur son front et d’un geste maladroit glissa les mèches de cheveux hors de son visage. Elle regarda ce qui dans l’ombre devait être le regard lourd de son oncle. Il reprit son discourt
– A ma petite, se n est pas n’importe quel inquisiteur que tu as devant toi. Il est différant. Très différant même…
Elle desserra le point pour laisser la lame sur le lit. Un coup d’œil à son oncle la fit comprendre l’importance du masque. La sorcière prit soin de saisir délicatement le bec, la sève de Pocomis pouvais s’estomper à tout moment. Ce fut par de petit mouvement délicat quelle réussi à retirer le cuire du visage de l’inquisiteur.
– Il est humain?
Nelyagant glissa son l’index sur la barbe de Cyraxon.
– Un peu plus, tout de même. Il est notre la clef… vers la nuit.
Madeleine regarda son oncle toujours plus médusé.
– Mais mon oncle… il n’est rien il veut notre mort… il fait partie de ceux qui ont tué trio…
– Et je sais quelle importance trio avait en ton esprit. La réalité est que parfois, les monstres s’apprivoisent. Si celui-ci est bien apprivoisé … il lui serait possible de faire nombre de dommage. Probablement plus que toi et moi.
Madeleines savait ce que son oncle allait lui dire mais elle ne voulait l’entendre. Son corps frissonna, la flamme de sa vengeance ne sue la tenir au chaud.
– Suit le… chasse avec lui… juge avec lui… deviens sa fidèle alliée et comme tout bon chien, tu réussiras à le dressé. Un fois chose fait, je reviendrais en faire une arme à notre cause.
La sorcière se releva face à son oncle qui, supérieur de deux têtes lui faisait ressentir cette grandeur.
– Pourquoi est-il si importent? Qua-t-il de si particulier?
Le sorcier gris mit sa main à l’intérieur de sa cape, il en sorti le manche d’épée muni d’une lune. Il posa la garde sur le mur, geste qui créa un trou sombre ou les étoiles était visible. Le grand personnage s’engouffra dans cet interstice. Il glissa comme dernière parole a madeleine.
– Il a le pouvoir de libérer nos dieux.