Dans un monde incertain
Les splendeurs de l’été
Me donnent à penser
Au monde des grands saints.
Je hume les chaleurs
De ces très douces nuits
Qui bientôt nous ont fuis
Pour demain devenir une image dans nos cœurs.
Les prix n’ont point d’effet
Sur le temps qui s’écoule
Passé, présent, avenir nous saoulent
Ainsi que des amants qui ont par trop aimé.
Merci Lucile pour ta fidélité.