Certaines conclusions sont provisoires.
Ce Qui est à nouveau démontré.
Certains ont cru à la fin de l’Histoire.
Elle continue pourtant.
Des problèmes de coexistence, il y en a eu. L’espace est limité sur notre belle planète bleue. D’autant que les HC, comme les araignées, à part une exception, l’argyronète, ne vivent pas dans les milieux aquatiques. Restaient donc pour leur expansion, les continents, soit 29 % de la surface terrestre. Ce qui est peu.
Chez les humains, en dehors de dispositifs techniques, l’adaptation aux milieux aquatiques n’est pas meilleure. Elle est même légèrement pire puisqu’il n’existe pas dans l’espèce humaine d’équivalent de l’argyronète.
Malgré l’influence pacificatrice des HC, Il y eu à nouveau des guerres. Certaines furent perdues, d’autres gagnées. Mais inexorablement l’espace dédié aux humains s’amenuisa peu à peu. L’espoir d’un monde meilleur se faisait jour.
Vous dire à quoi ressemblaient les HC, je ne peux. Certains tabous sont infranchissables.
Pour les humains tout semblait perdu. L’avenir semblait écrit. La plume de l’Histoire trempait sa plume dans leur sang versé en vain pour écrire l’histoire des HC. Un peu comme si l’on était passé de l’ancien testament au nouveau testament.
Pourtant rien ne se passa ainsi.
L’HOMME ET LA FEMME VERTES – chapitre 26
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