Lorsque le politique entre en conflit avec le religieux c’est souvent parce qu’il n’y a pas de contrepartie économique ou politique.
Par exemple, certaines dictatures sont tolérées tant qu’il y aura une contrepartie économique. En general, ces pays sont considérés dictatoriaux par les pays représentants des droits de l’Homme. Mais le peuple ne sera pas « libéré » par une guerre tant qu’il y aura un accord commercial (achat ou vente d’armes, pétrole, etc).
La religion peux devenir un sujet épineux quand on parle de laïcité, mais l’est moins en période de fête. Les fêtes ne seront pas considérées si religieuses qu’elles ont en l’air puisqu’elle contribue au pouvoir économique. Quelque chose est mal si il n’apporte pas une contrepartie bénéfique et en général c’est une question d’argent mais aussi politique.
Dans les pays où la majorité de la population a une seule religion, leurs dirigeants peuvent se montrer aisément en « bon » pratiquants de la religion majoritaire car cela est vue favorablement par l’ensemble de la population appartenant à cette religion. La contrepartie religieuse est dans ce cas bénéfique car elle apporte de la popularité, ou des voix dans le cas d’un vote démocratique.