Dans un campement dans une plaine qui fait face à une forteresse.
On voit une femme qui boit de la bière dans une chope en bois qu’elle tient à une main.
Elle a les jambes sur une table et avachie sur un fauteuil.
Elle doit avoir l’âge de Tanshuizhe.
Elle a les cheveux courts rouge et elle a un œil jaune et un œil rouge.
Elle porte une dentelle comme haut en cuir noir.
Elle porte un pantalon en cuir noir et des des rangers noir.
Elle porte une cape de fourrure de grizzly et des minettes en cuir noirs.
Un soldat avertie de la menace qu’à fait Suoyuan a Tanyu.
Elle finit sa bière et la pose fort sur la table à proximité d’elle.
Elle demande avec un voix grave pour une femme et féroce mais d’un ton calme.
« Il a d’autre mouvement suspect ? »
L’informateur informe que trois personnes de Suoyuan ont disparu après être sortie de leurs contrées et qu’ils ne peuvent pas les tracer car ils ont disparus en rentrant dans une forêt d’un état voisin.
Elle le remercie des informations et lui dit signe de disposer.
Elle met sa jambe gauche sur sa jambe droite, elle croise les bras et bascule légèrement vers l’arrière. On voit qu’elle est en pleine réflexion.
Puis elle sourit et grogne. Un des capitaines lui demande avec une voix calme et assez grave.
« Votre majesté Kuangnu, vous avez compris quelque chose ? »
Elle rigole et déclare
« Oui. Ce connard tente un grand pari. J’aime cela. »
Baoshi reçoit les mêmes informations mais eux ne comprennent pas les agissement de Suoyuan et grince des dents car ils sentent qu’ils n’auront aucun renfort.
Tandis que Yinyu, Jaoqi et Chidun cherchaient la réponse, ils reçoivent une lettre diplomatique de ce pays q où il est écrit.
« Moi, Meng va préparer la tempête. J’arrive état inoffensif pour réunir le royaume Bingru Gaohuang de mes propres mains alors préparez-vous pour nos échanges. »
Le chef de Yinyu rigole et déclare avec une voix tendre et douce avec ton impérial.
« Moi qui pensait qu’on allait négocier une alliance, nous voilà en guerre. Mon frère, tu es génie. Je veux savoir qui est le chef ! »
Un informateur dit à son chef que c’est un orphelin qui est devenu un capitaine assez rapidement et que le roi lui a confié son rôle.
Il sourit et dit
« Envoyer lui se message. ‘La mer est prête à aider la tempête pour un ouragan.’ »
La plupart des personnes ne comprennent pas le sens du message mais le destinataire le comprend vite et en sourit.
La guerrière de Jaoqi est la sœur de Jiaoao et frappe sur une table où il a une carte du royaume avec la disposition des troupes et les pièces utilisaient ressemblent à celle utiliser pour le Bing.
Elle déclare avec une voix banal de femme mais féroce avec un ton colérique.
« Putain ! On pouvait penser à Baoshi allait nous aider en attaquant Yinyu mais Fennu les a attaqué et Tanyu est bloqué à cause de Suoyuan.
En plus s’il rajoute Chidun, notre empire va tomber ! »
Elle sert très fort fort ses mains et réfléchit avec les stratèges pour tenir le plus longtemps en attendant une lueur d’espoir.
Chidun fut surprit de cette missive pui son père commença à faire un rappel des troupes qui était partie contre Jaoqi. Elle dit de continuer comme d’habitude et que c’est à elle de se préparer ce qui les surprend.
Elle s’entraîne seul dans une forêt et son père demande à sa fille ce que Meng a prévu.
Elle répond.
« D’unir tout Bingru Gaohuang en une seul guerre, lui contre tout les chefs. »
Son père dit justement qu’elle doit donc rappeler ses hommes pour le contrer.
Elle ajouta
« Il n’existe pas une manière de conquérir un clan. »
Ainsi l’ancien chef de Chidun comprend que leur adversaire fait un tournoi où il est le champion auto-proclamé et le perdant du combat doit donner son état.
Dans le campement de Fennu, un capitaine demande à sa supérieur des détails car elle n’en pas après avoir dit que le chef de Suoyuan tente un pari risqué.
Elle refuse puis l’homme arrive avec un tonneau de bière.
Elle dit
« Tu sais m’amadouer. »
Ils rigolent et ils ont tout les deux une chope et ils se servent. Il reposa donc la même question.
Elle déclare
« Tu sais, j’entends les flammes. »
« Oui, je le sais » dit le soldat
« J’en ai entendu trois, trois flammes à Chidun, Yinyu et Jaoqi. »
« Attendez mais Chidun n’est pas son allié ? »
« Si sauf si son but est d’unir. »
Il la regarde surprit.
Elle rigole et voyant sa tête et tend ses doigts pour un faire le chiffre trois.
Elle ajoute
« Il a trois possibilité de mettre un pays sous sa coupe. »
« Le premier est la plus connu, la guerre quand tu conquis un territoire, il est a toi et personne n’a rien à dire » Elle dit ceci en montrant un du doigt.
« La deuxième est le duel de chef et si tu gagnes, tu auras le droit de prendre sa place. Comme avec l’autre méthode personne ne peut rien dire car c’est une méthode honorable. » Elle ajoute ceci en montrant deux du doigt.
« Et la dernière est la négociation , on en voudrait pas un roi dominant mais au roi soumis et encore si le roi est trop puissant alors personne ne constatera se choix. » elle finit ceci en montrant trois du doigt.
Elle sourit et son camarade la regarde et ensuite déclare
« Pour nous ça à l’air d’être moins joyeux. »
Elle sourit face à cette déduction et répond
« Exact Fanlan, je sens que des flammes à l’intérieur de Baoshi depuis qu’on est arrivé, et à Tanyu, il a un gentil brasier qui se forme surtout depuis la venu du roi envahisseur, il a du sûrement jeter des brandilles pour augmenter la petite qui avait. »
« Donc si Suoyuan a aidé aux brasier de Tanyu donc Tanyu pourrait être avec eux et que si le gros porc de Chanzui voit qu’il est pris entre nos deux factions, il abandonnera son poste et Suoyuan en profitera pour prendre le territoire.
Tout les lames seront contre nous. »
« Normal qu’il nous prend en dernier, nous sommes l’armée la plus fort, il veut prendre ses précaution. »
Il boit dans sa chope puis il réalise quelque chose et demande à sa chef
« Pourquoi c’est un pari ? »
Elle sourit et déclare
« Car il doit avoir un peu de chance et ne pas perdre. »
« Tu peux m’en dire plus ? » demande son partenaire
« Il doit avoir un tempête qui éteint les incendie de trois royaumes s’il perd, il perdra en réputation, en menace et donc perdra son avantage de la surprise surtout s’il se foire au début, là son plan sera annulé. Et un hasard car les deux états en guerre civil doit être dans un état critique ou allié à lui quand il aura fini. C’est pour cela que c’est un pari et un parie qui risque son état et sa vie.
C’est jouer avec la fortune de notre déesse. »