On vit jour après jour, de l’aurore au crépuscule,
Mais parfois d’un jour à l’autre notre vie bascule.
La mort par sa simple évocation nous menace,
Dans le corps et l’esprit, c’est notre âme qui se glace.
Ce qui fut joie de vivre ne devient que silence,
Entre peur et colère notre cœur se balance.
Et même dans la nuit, les étoiles s’effacent,
Ne laissant derrière elles qu’un noir chemin sans traces.
Ce que l’Homme refuse de comprendre, c’est que pour tous
Au-delà de la vie c’est la mort qui nous pousse
Et que rien ni personne n’échappe à son trépas.
Lorsque la grande faucheuse docilement se hâte,
Sur le pas de nos portes, de sa lame délicate,
On réalise enfin que la vie est un choix.
Sonnet écrit le 16 mars 2017.
Élise L.G
Bon poème tu m’impressionne bravo j m’abonne !
Merci beaucoup ! Ce poème date un peu, mais j’ai l’impression que quand on écrit sous le coup de l’émotion ou d’un évènement, le poème est mieux ^^