Il marche
Seul dans la brume
Sur son cœur une balafre
Dans son âme de l’amertume
Dans ses oreilles une musique
Qui lui rappelle des souvenirs
Mais ces souvenirs sont hypocrites
Car elle n’a fait que lui mentir
Il se sent vide
Dans sa tête des mots résonnent
Sa vie est bien futile
Il y en a trop pour un seul homme
Guidé par la douleur
Son cœur l’emmène au bord du gouffre
Aveuglé par ses pleurs
Il saute et rend son dernier souffle