SOMMAIRE :
PROLOGUE
PROLOGUE
Le village de Ndiki-Nen est un bourg situé à l’orée de l’inexploitable forêt noire, Hebom. D’après les légendes, vit l’horrible Asanbosam, créature humanoïde dotée d’une série de dents pointues, ayant une racine commune enroulée en forme de spirale, avec des jambes tordues se terminant par des crochets en fer en guise de pieds, pour s’accrocher aux branches des arbres. Cela n’empêche pas Babagnack, sa femme Dadama avec ses cinq filles Amita, Pifanda, Melal, Pinis et Pelana d’y vivre des journées pleines de gaieté à proximité. Quoi de plus normal, lorsqu’on a en estime toute la charité des villageois, surtout celle du chef Yingui, lui-même.
Pourquoi ce dernier démontre-t-il tant de compassion à l’égard de cette famille ?
Aussi, du vivant de son père, le chef Yinguissa, la sorcellerie était un vrai art, une véritable passion de vie, une pratique si anodine et surtout bienfaisante pour les dynasties dirigeantes.
Pour quelle(s) raison(s), Yingui l’a t’elle strictement interdite après sa mort ?
À SUIVRE…
Ps : J’ai déjà publié les XXVI (26) chapitres de cette longue nouvelle, que vous pouvez retrouver aisément dans ma rubrique LES ORIGINES DU POUVOIR RELIGIEUX. C’est vrai que j’aurai dû faire ce prologue avant. S’il vous plait, excusez mon erreur de débutante. Cela ne se produira plus. Je compte sur vos likes et vos avis. Merci.
Bonne lecture,