Je me frictionna les mains en soufflant dessus en même temps. La température avait finit par chuté, à tel point que ce matin, je mettais rendu compte que c’était le premier jour de neige.
Les plantations de ma mère avait fini par geler, si bien que je ne pensais pas qu’elles pourraient fleurir pour le printemps. Elles étaient mortes.
Avant, je courrait avec joie pour sauter dans la neige. L’excitation d’un temps comme celui ci c’était éteint bien vite de mon esprit, et représenter plutôt une contrainte a présent.
Mon chauffeur risquait de coincer son véhicule dans un trop plein de neige, ou bien de glisser sur du verglas…
Mais je n’eut pas le temps de m’en inquiéter plus que de mesure, qu’apresent j’apperçu le véhicule tant attendu débouler à présent dans ma rue. Il se gara juste devant mon portail, et après qu’il m’est ouvert la portière, je pénétra à l’intérieur. Le contraste avec l’extérieur était frappant, j’en avais presque chaud.
Il redemarra la voiture après avoir enclenché sa ceinture, et il prit la route en direction de mon lycée.
Le trajet était comme à mon habitude, agréable. Quelques banalité furent échanger en chemin, je répondais souvent pas monocylabe, et rarement par quelques chose de constructif De toute manière, il n’en attendait pas plus de ma part.
Quelque chose me sortit de la bulle habituelle qu’était mon quotidien, un camion de déménagement dechargea de vieux meubles devant l’ancienne maison des Locarzz. Pourtant j’avais cru comprendre qu’elle devait être raser d’ici une vingtaine de jours. C’est asser rare qu’une décision finisse par être contester, dans ce genre de coins.
Enfin, sauf si on est plein aux as. Et ça devait certainement être le cas. Je ne pu plus continuer à regarder la scène, nous roulions bien trop vite.
Nous n’avions à présent plus que deux kilomètres à parcourir, et nous serions arrivés à bon port. Une nouvelle semaine aller pouvoir se dérouler. Une routine habituelle, et réconfortante.