J’ai envie de te connaitre, de t’enlacer et surtout j’ai envie que tu me pénètres.
Je veux que tu me caresse , que tu m’embrasse et ne cesse d’être sage malgré toutes ces phases qui se cachent sous ces terribles ramages. Je te veux.
Je te veux ,toi, je veux de tes bras de ton corps et de ton être qui se jette dans mon bec attaché. Je souhaite remplacer ce paraitre qui m’irrite sans cesse et détruit ma tète.
Régulièrement j’ai la grise sensation que je ne peux vivre sans ta personne , sans toi dans toutes mes zones , et que dans tout mes mots tu resonne. Simplement je veux que tu devienne mon magnifique Anone.
J’ai envie de ton aura , de tes images , et de tes paysages. J’ai envie de ton air ,de ta sphère et de tes beau yeux verts. Je veux que nos âmes se régalent , que nos âmes se chamaillent et que tu devienne mon unique et magnifique médaille; puis que tout cela me soigne.
J’ai envie de t’enlacer , si fort que ton torse s’en torde afin de tasser mes peur et me donner une réelle lueur. Je veux te manger ,te croquer ,à pleines bouches ,sans perdre une miette de ta senteur.
Je veux t’admirer sans être crispée , sans me rappeler que mes appels ne sont que les les croissements ,résultat final de mes larmes me laissant sans vents de âme.
Je te veux en moi , je te veux toi dans la plus total de ton entièreté, sans aucunes parties mise de coter, Je veux les 150 de ta diversités et ces milliers de fruits crées.
C’est malsain de t’écrire , c’est malsain de le dire ,c’est malsain de le penser mais lors de mes plus silencieuse solitudes , je sais que ma rétine se dépose ,si terriblement , qu’elle t’égratignes et me remplie d’épines.
C’est mon sang qui goute , qui formes toutes ces croutes ,qui débecte et rendent mon monde totalement abjecte puis cela m’éjecte sur cette branche cassée ,qui m’écrase contre ce sol en béton armé.
Ce qui me détruit c’est que tu n’existe pas et pourtant je te vois partout ,sauf en moi.
Je le sens ,mes ailes sont dessoudées.