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C’était pour redonner le sourire à ma mère que je m’étais aventuré dans ce lac mystérieux. Alors je me suis levé du banc et l’homme à la tunique me disait :
« Tu vas y aller, n’est-ce pas ?
».
».
Alors j’ai répondu simplement par un : « Bientôt ».
Je repris ma route vers chez moi sous le regard persistant cet homme, puis alors que le soleil était bien haut, je ne le vis plus. Je pouvais donc reprendre chemin sans me sentir observé. Arrivé chez, ma mère était sur son lit. Elle était comme morte. Elle ne c’était pas encore remis de la triste nouvelle. Alors je me suis assis auprès d’elle et je lui ai dit :
« Je te ramènerai une pierre Bleue du ginniya qui vit dans le lac d’Azur.
Ma mère me dit alors :
– Non…Reste…Il me reste que toi…
– Patience, je reviendrai et je ferai de toi la plus heureuse des mères ».
Je l’embrassai au front, et je partis. J’étais si naïf. Je refermai la porte contemplant une dernière sa tristesse. Puis je sortis de chez moi. En quête de trouver ce ginniya et de ramener cette fameuse pierre bleu. Arrivé au lac, j’ai vu un garçon du même âge que moi, prêt à sauter dans l’eau. Je me suis approchai de lui est lui est dit :
« Toi aussi, tu veux récupérer une pierre bleue.
– Oui, me dit-il.
– Pourquoi ?
– Je souhaite montrer à mon père, qui est chef de brigades, que moi aussi je peux réaliser des exploits. Il me dit sans cesse que je suis la honte de la famille, il me dit que j’ai qu’à ramener une pierre bleue pour montrer que je suis digne d’être son fils.
– Ton père, au moins, il en vie.
– C’est pour ça que tu veux une pierre, pour te consoler ? Me dit-il.
– Cela ne te regarde pas ! » Criais-je.
Puis j’ai sauté dans le lac. Lui aussi. J’étais dans le ventre de ce lac, un lac plein de mystère, regorgeant de peine passée. Un lac spectateur de tout ce que les hommes en engendrés comme horreurs. On avait atteint, au bout de plusieurs secondes, un espace vide. Je m’approchais de là, lui aussi d’ailleurs, il me suivait. Puis, comme une sorte de maléfice. Nos corps se sont retournés, On avait atteint un monde étrange. Debout, au fond de l’eau…Enfin, il n’y’avait pas d’eau. Juste une fissure. Alors, mon camarade couru vers cette fissure et nous fîmes téléporter dans une grotte. Nous tombâmes dans une étrange demeure, puis il me dit en s’essoufflant :
« Tu es fort et endurant, ce n’est pas pour rien que tu suis une formation de guerrier à Tzelhei. Comment t’appelles-tu ?
– Je m’appelle Azmir. Et toi ?
– Moi, c’est Gallil.
– Alors continuons notre chemin espérant que ton père sois fière de toi, et que ma mère sois heureuse ».
Il me regarda, et compris pourquoi j’étais ici. Nous partîmes donc au gouffre de cette grotte. Gallil été content, je n’ai pas compris, mais bon à quoi cela sert-il désormais il est mort. Alors qu’on s’aventuré, il s’approcha de moi, n’ayant pas vu. N’ayant pas vu le rocher qui s’abattue sur lui. Il avait couru vers moi, me bousculant, il m’avait sauvé, lui qui d’après son père était inutile. Le visage en sang, il me regarda, et me dit :
« Je crois que tu devras continuer seul… Désolé de ne pas être fort.
– Quoi… Non… Gallil, disais-je en pleure.
– Azmir…, disait-il en me donnant un papier.
– Oui, en prenant le papier.
– Tiens, mon adresse… Tu pourras dire à mon père que je suis un héro…Que je me suis sacrifié…, crachotant du sang.
– Je lui dirais. Merci de m’avoir sauvé. Je penserai à toi à chaque fois que ma mère sourira.
– Alors…Va, et vis ».
Sa tête se bascula en arrière. Je le déposai sous une roche. Je regardais sa face, si brillant, si enfantins, pleines de rêveries et de choses à prouver au monde. Lorsque je serai général, j’appellerai mon armée Gallil, à son honneur. Je séchais mes yeux, mes larmes, quel monde. Tant de jeune prometteur qui risque leurs vies, juste pour prouver de quoi ils sont capables. Aujourd’hui, j’en vois encore, malheureusement. Ils ne reviennent jamais de ce lac.
Je repris donc ma route, avant de tomber sur une étrange porte flottante.
La partie finale arrive bientôt !
Préparé-vous au spectacle final 🙂
La partie 4/4 est posté.
Préparé-vous au final 🙂
Galill ! Ça me motive à écrit un PEN a ce titre.
J’aime bien cette partir.