Plus rien n’enchante le monde
Insondables sont les maux
Des meurtrissures à demi-flots
Et des contes perdus dans les sanglots
Il aime
Il adore
Il aime
Et sous le chaos
Le corps
L’amour a la déraison
Là le corps porte l’aurore
Et le ciel voile les astres
Et les soupirs de tout l’or du monde
L’épine faisant naufrage
Et les jours méditent longs
Il aime
Il adore
Il aime
Et sous le chaos
Le cœur
Bercé dans les eaux
Sont noyées les clefs de l’or
Plus rien n’enchante le monde
Inséparables sont les vents
Le tumulte caché dans les flots
Et des nuits sombrent l’amour naissant
Il aime
Il adore
Il aime
… encore
Et puis recommence
Aucune pulsion
Pas de love song
Et les montagnes se fatiguent à travers les âges
Et les jours maudits semblent si longs
Et pourtant la nuit a guéri ces jours indomptables
Et la mort porte son nom
Il aime
Il adore
Il aime…
Et sous un pétale de cendres
Sa maison d’or, il rentre
Juste avant sa mort
Sa mort
Sa mort
Timeho Plouerzoc’h
29 septembre 2018
Sublime, j’en reste sans voix.
Très joli, enfin j’ai envie de dire " Très jolie chanson’, en lisant ce texte j’entend déjà le rythme, la cadence et La Musique qui assurément est inspirée par Michel Berger. Il y a là matière a en faire une véritable Chanson.
La groupie du temps qui passe.