Je ne me souviens plus du pourquoi j’avais écrit ça…
Peut-être …
En tout cas, je sais maintenant que ça raconte une petite anecdote
Comme un fantôme qui se promène
Et l’onde sourde alourdit bien de ses chaînes
Murmure de l’eau…
L’océan ruisselle l’Écho, me
Murmure de lierre que l’on doit, parfois,
S’étreindre de l’Autrefois
Et ce fantôme se démène
Sous l’apparence, gît quelques chrysanthèmes
L’aube a ses maux…
L’onde à demi-flots, me
Me nourrir de toi, las, sans voix
Retrouver dans un océan une trace
Une Étoile
Quand
Retenir l’eau de soi
Des giboulées de rêves
L’aimable verre se fêle
Retenir l’eau de la mémoire qui n’a…
Peut-être appartenir à Celle
Peut-être une pluie de fièvre
Et quand
Redonne-moi
Pour 7 Autres fois
Des pétales de rire
À perdre l’équilibre
Et quand
Retenir l’eau
Pour la Love Song, pour le choix
Ô mémoire inachevée
Entrer dans l’histoire
Il était une fois…
Comme ce fantôme qui se lie à la prière
Dans l’océan abîmé, gît des peintres de lumière
Ruissellent l’onde…
Verser l’encre dans ce Temple
Amour de soi, fracas
Fragments de soi
Lambeau de cet Autrefois
Timeho Plouerzoc’h
23 avril 2010
Retenir l’eau et en faire un conte est une bonne initiative. Cette fois l’eau devient encre pour remettre l’histoire est en rire vraiment. Joli poème.
Encore et toujours des images époustouflantes.