Le jugement de Parabellum chap 5: Ou comment la machine se met en route

4 mins

Il s’agit d’une fan-fiction basée sur une partie de Jeux de rôle tiré de l’émission Roll The Dice, si vous n’avez pas écouter la campagne de Knigt, je vous déconseille de lire, tout n’est que référence et clin-d’oeil (cette fan-fic est écrite après la fin de cette campagne). Disponible sur Twitch, Radiom.fr et Spotify. 

Leur page d’origine surRadiom, la radio étudiante

Sur Twitch

Comme dit dans le premier chapitre, je ne connais pas réellement l’univers. Donc tous ce qui est dit, est avant tout supposé. De même pour les personnages utilisés, je suppose que cela aurait put être leur réaction. Cette histoire n’est pas validé par le Maitre du jeu de la partie en question. Et elle sera en plusieurs partie, leur nombre n’est pas encore défini.

Il s’agit, encore, d’un dessin fait dans le cadre d’un fanart, toujours pour cette même émission, à la demande du MJ. Wikipen n’était pas en mesure de l’afficher totalement, il est disponible dans le Channel fanart de l’émission sur Discord. 

Je vous remercie de votre lecture et je vous souhaite une bonne lecture

Cordialement 

AuteurAnonyme

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Derrière, R.A.D.I.O.M commença quelques exercices de gymnastique, appréciant les capacités de l’armure. Puis que personne n’était en mesure d’étancher sa soif de savoir, il devrait se débrouiller seul.

Es que c’est sa faute s’il est programmé pour toujours cherché plus loin que ce soit dans les sensations que dans la recherche ? Réalisé l’impossible, telle est son but.

– Nos chers capitaines, on va devoir vous laissez. Déclara l’armure en direction des deux humains. Promis, on rangera l’armure. Bonne soirée et pas de bêtises.

– Pardon !?!! S’exclamèrent en choeur les deux chevaliers, encore à chercher une suite à leur plan.

A la manière d’un personnage célèbre de leurs temps, l’armure ouvrit grand la fenêtre. Et en quelque instant, l’enveloppe de métal avait enjambé la balustrade et disparut au dessus de la fenêtre. 

AuteurAnonyme : C’est quand même pratique qu’Hollywood est gardé les modélisations 3D de Spider-man.

LittleLink : En plus on est trop classe.

Ethana : Mode ghost activé ainsi que module adhérence. 

Azer0th : Il est retenu au combien ?

SuperKyou : Haut

Avec souplesse et silence, c’est ainsi que R.A.D.I.O.M avalait les mètres avec la dextérité d’un chat. La pierre blanche et les moulures du palais de Westminster offraient de belles prises aux mains expertes qui avec une facilité sur-humaine grimpait d’une prise à l’autre. En quelque minutes, l’armure se tenait à l’antenne satellite poster au sommet de la tour. Elle prit une petite seconde pour prendre un panorama de la ville de Londres dans la pâle lumière du soir.

En quelques sauts agiles, elle redescendit vers l’une des nombreuses fenêtres du dernier étage. Le soleil s’attacha aux plaques de nanomachines subitement, et alertant l’occupant. 

Quand il s’approcha de la fenêtre, Victor se trouva nez-à-nez avec l’armure de son ami John. L’enveloppe de fer imitait un chat grattant à la fenêtre, accroupie sur les cinq petits centimètres de balcon. John était quelqu’un d’un naturel très discret, ça il voulait bien l’admettre, pour s’être fait avoir plusieurs fois, mais de là à subtiliser son armure. Il y avait tout de même un fossé. Et pourquoi aurait-il prit un tel risque ?

D’un geste vif, il ouvrit la fenêtre pour faire rentrer celui qu’il pensait être le japonais. Aussi silencieusement qu’il était arrivé, la Rogue sauta dans la pièce.

– John ? Demanda l’américain. Qu’est ce que tu fais là ? Où est Nora ?

– Bonjour capitaine, heureux de vous revoir nous aussi !

– R.A.D.I.O.M ?

– Ouuuiii !

Enfer et damnation ce dit-il. Non, il n’était pas assez dans le pétrin, il fallait que leur IA d’une mission revienne au galop. Sa main revient encore une fois dans sa barbe. Comment arranger les choses ? Comment se sauver de cela devant la Table Ronde ?

– Au fait, capitaine, commença l’armure puisqu’aucune conversation ne s’engageait, pourquoi vous êtes accusé de haute trahison ? Enfin, c’est plutôt qu’on a pas tout compris.

Encore plus consterné qu’avant, le brun se posa dans une chaise proche avant de répondre à la machine.

– Ils pensent que j’aurais donnée un accès au Knight à mon ancienne organisation. Ce que je n’ai jamais fait bien sûr.

– A cause de la porte que vous vous étiez fait avec la caméra de la cache ?

– Tout à fait

– Et la vidéo, où l’on vous voit passé une clef USA à un mec bizarre à Moscou ?

– Je sais même pas d’où elle peut venir, je n’ai jamais donnée d’information à qui que ce soit d’extérieur à l’organisation.

– On vous croit capitaine, on a trouvé un super programme gratuit de détecteur de mensonge sur le dark web.

Se fut l’information de trop pour Victor, il était condamné. C’était sûr avec un tel avocat à ses côtés, son innocence ne serait jamais proclamée.

Nemi: Fin du traitement de la vidéo, j’envoie les résultats sur ici.

– On aurait besoin d’avoir l’accès à la porte que vous laissez s’il vous plait capitaine.

– Pourquoi faire ? Demanda-t-il.

– On voudrait vérifier quelque chose.

– D’accord, leur dit-il, abattu. 

Aller… combien, qu’ils allaient se servir de ses identifiants pour commander une frappe de napalm en son nom ?

A sa réponse affirmative, l’armure se fondit sur son buste pour lui donné accès au casque et à une petite partie de la carapace de fer. Il y avait bien une grande différence de gabarit entre le svelte Johnson et Martchenko bâtit en rugbyman mais les nanomachines s’y accommodaient comme elles pouvaient.

Quelque peu perturbé par la nouvelle interface face à lui, il ne fallut quelques secondes pour offrir l’accès désiré à R.A.D.I.O.M..

Une longue file de « merci » dégoulina sur le côté de l’écran, avant que l’armure de se retire. 

– On doit y retourner capitaine mais promis nous appliqueront notre programme à la lettre.

– Quel partie de votre programme précisément ? Demanda l’américain sceptique sur les intention de la machine.

– Protéger et assister nos chevaliers.

A ses mots, l’armure qui jusque-là se tenait au rebord de la fenêtre sauta à pied joins dans le vide et effectuant un furtif salut militaire et disparut dans la nuit. Victor put entendre le battement de la cape au vent comment dernier signe de passage de l’armure. Se prenaient-ils vraiment pour des justiciers de la nuit ?

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