Moi…je les aime.
Les vraies. Pas tes nouilles en carton. Coloré. Comme tes traits de chapiteau. Ou tes segments encrés, ou tes recoins perdus, pareil. Platée de zigouigouis, en nouilles de plâtre, que t’exhibes en écharpe. Animiste des surfaces. Trop de tout pour être triste, et de rien, idem encore.
Et puis tes pas ci – pas ça, le tri sélectif dans la moelle qu’t’agonis ou marmonnes en embrassant les masqués de ton bord. Fini les passoires, obscurcis les miroirs, tout s’emballe.
Et ça traine, ça perroquète, Hercule Herr Code. Sans K, note le. Les flaques de sang, tu les enjambes en marelle. Le ciel, le ciel, qui accueille ton hochet.
Suis rien, mais j’ouvre mes narines à la carotte, au boeuf , au basilic, à l’ail-oignon et à la tomate. J’entends le frémissement de la pulpe des heures durant.
Le fumet imprime l’atmosphère de son pur alphabet.